L'OMS et d'autres membres du personnel des agences de soutien sont accusés par 50 femmes dans le cadre d'une enquête conjointe menée par deux agences de presse.
Des femmes auraient été arrosées de boissons, "piégées" dans des hôpitaux, forcées à avoir des relations sexuelles, et deux d'entre elles seraient tombées enceintes.
Les accusations couvrent la période entre 2018 et mars 2020.
L'agence de presse New Humanitarian et la Fondation Thomson Reuters ont mené une enquête qui a duré presqu'un an.
Des femmes auraient été arrosées de boissons, "piégées" dans des hôpitaux, forcées à avoir des relations sexuelles, et deux d'entre elles seraient tombées enceintes.
Les accusations couvrent la période entre 2018 et mars 2020.
L'agence de presse New Humanitarian et la Fondation Thomson Reuters ont mené une enquête qui a duré presqu'un an.