L’an 2000 qui était annoncé pour mort, a ressuscité. Il a appelé en direct dans l’émission Teuss pour démentir cette triste nouvelle.
« Je buvais du thé avec mes copains lorsqu’une dame s’est approchée de nous », a informé le lutteur. Et de poursuivre: «Très surprise de me voir, elle m'a demandé si c’était bien moi parce que tout Dakar parle de ta mort, certains prient pour le repos de ton âme».
Préférant en rire, le ressuscité de répondre : « Je suis bien vivant » non sans ajouter que « (sa) mère a eu très peur ». « Heureusement que j’étais à côté d’elle sinon cela aurait pu prendre une mauvaise tournure », a-t-il indiqué.
« Babacar du CNg m’a appelé pour me dire que ton nom animait la rubrique nécrologique de toutes les radios. Je suis bien portant et je rends grâce à Dieu», a-t-il martelé.
Il faut préciser que c’est Abou Malien alias L’An 2000 de l’écurie Bayakh, un lutteur Haalpuular d’adoption Lougatoise, qui est mort et non L’an 2000 de l’écurie Zap.
« Je buvais du thé avec mes copains lorsqu’une dame s’est approchée de nous », a informé le lutteur. Et de poursuivre: «Très surprise de me voir, elle m'a demandé si c’était bien moi parce que tout Dakar parle de ta mort, certains prient pour le repos de ton âme».
Préférant en rire, le ressuscité de répondre : « Je suis bien vivant » non sans ajouter que « (sa) mère a eu très peur ». « Heureusement que j’étais à côté d’elle sinon cela aurait pu prendre une mauvaise tournure », a-t-il indiqué.
« Babacar du CNg m’a appelé pour me dire que ton nom animait la rubrique nécrologique de toutes les radios. Je suis bien portant et je rends grâce à Dieu», a-t-il martelé.
Il faut préciser que c’est Abou Malien alias L’An 2000 de l’écurie Bayakh, un lutteur Haalpuular d’adoption Lougatoise, qui est mort et non L’an 2000 de l’écurie Zap.