Le continent africain dispose de tous les atouts pour devenir le lieu de production et de transformation du riz. Ces assurances sont de Docteur Papa Abdoulaye Seck. En effet de l’avis du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, l’Asie producteur historique de riz est en train de perdre cette vocation et ne dispose plus de terres arables à cause de sa démographie galopante mais aussi de la poussée industrielle. Ainsi, le temps est venu pour l’Afrique de se lancer non seulement dans la production de riz mais aussi dans l’exportation », conclut ce dernier.
Par conséquent le Sénégal à l’instar des autres pays africains doit mettre en place des mécanismes pour financer la recherche et assurer la vulgarisation en mettant en place des unités industrielles de transformation. En outre, de l’avis du ministre de l'Agriculture: «La recherche agricole est fondamentale car elle permet d’avoir plus de variétés, gage d’une bonne transformation du secteur», souligne Papa Abdoulaye Seck. Mais l’atteinte de tels défis passe par la réduction des pertes post-récoltes qui représentent 20% à 30% de la production. Et pour cela, le ministre en appelle à la BAD afin que l’institution financière s’intéresse encore plus à la phase post-récolte.
Par conséquent le Sénégal à l’instar des autres pays africains doit mettre en place des mécanismes pour financer la recherche et assurer la vulgarisation en mettant en place des unités industrielles de transformation. En outre, de l’avis du ministre de l'Agriculture: «La recherche agricole est fondamentale car elle permet d’avoir plus de variétés, gage d’une bonne transformation du secteur», souligne Papa Abdoulaye Seck. Mais l’atteinte de tels défis passe par la réduction des pertes post-récoltes qui représentent 20% à 30% de la production. Et pour cela, le ministre en appelle à la BAD afin que l’institution financière s’intéresse encore plus à la phase post-récolte.