L’écueil qui bloquait l’arrestation de l’homme d’affaires Kéba Keinde dans le cadre de ces commissions occultes encaissées par des dignitaires de l’ancien régime dans l’octroi de la licence de téléphonie à la société soudanaise Sudatel vient d’être levé.
Si le candidat à la présidentielle 2012 écarté par le Conseil Constitutionnel n’a pas été arrêté jusque-là, c’est que tout simplement son « identification n’avait pas été jointe au mandat d’arrêt international émis par le Doyen des juges d’Instruction Mahawa Sémou Diouf » selon des sources dignes de foi qui précisent que c’est maintenant « chose faite » sur les colonnes du journal « libération » qui précise que le magistrat instructeur a dû récemment faire une délégation judiciaire aux gendarmes de la Section de Recherches (SR) de Dakar aux fins de « procéder à cette identification qui devrait faciliter les recherches ».
A cet effet, depuis quelques jours déjà, les gendarmes ont retourné la délégation judiciaire au juge du Premier cabinet qui a, à son tour, lancé le mandat d’arrêt international en y joignant cette fois-ci le dossier d’identification » de Kéba Keinde fréquemment repéré dans des « grands palaces de Dubaï » selon nos confrères qui soulignent que "désormais la balle est dans le camp des autorités dubaiötes".
Si le candidat à la présidentielle 2012 écarté par le Conseil Constitutionnel n’a pas été arrêté jusque-là, c’est que tout simplement son « identification n’avait pas été jointe au mandat d’arrêt international émis par le Doyen des juges d’Instruction Mahawa Sémou Diouf » selon des sources dignes de foi qui précisent que c’est maintenant « chose faite » sur les colonnes du journal « libération » qui précise que le magistrat instructeur a dû récemment faire une délégation judiciaire aux gendarmes de la Section de Recherches (SR) de Dakar aux fins de « procéder à cette identification qui devrait faciliter les recherches ».
A cet effet, depuis quelques jours déjà, les gendarmes ont retourné la délégation judiciaire au juge du Premier cabinet qui a, à son tour, lancé le mandat d’arrêt international en y joignant cette fois-ci le dossier d’identification » de Kéba Keinde fréquemment repéré dans des « grands palaces de Dubaï » selon nos confrères qui soulignent que "désormais la balle est dans le camp des autorités dubaiötes".