« L’Afrique doit relever le défi pour un développement écologique et social, elle a aussi une part de responsabilité particulière à assumer qui mérite d’être correctement appréhendée et prise en charge » déclare le Premier ministre Mouhammad Boun Abdallah Dionne venu présider l’ouverture de la conférence.
Selon lui, le Sénégal est favorable à l’initiative de ce congrès qui se tient dans notre capitale, car «nous sommes convaincus que le développement du Sénégal passe par celui de l’Afrique ».
Parlant sur la Conférence de Paris du mois de novembre et décembre prochain sur le climat, le Premier ministre affirme que « le Sénégal partage avec tous les autres pays, l’espoir que cette conférence va marquer un tournant en ce qu’elle intervient non seulement dans le contexte d’une crise de conscience, ensuite du changement climatique mais aussi parce qu’elle coïncide avec la mise en place de l’agenda post 2015 qui donnera de nouvelles responsabilités dans la gouvernance économique et environnementale mondiale ».
Pour sa part, la Présidente du comité de pilotage de la conférence Mm Fatima Dia, «la conférence de Paris va travailler pour avoir un accord climat, c'est-à-dire voir comment tous les pays du monde vont s’engager à réduire les émissions de gaz à effets de serres ».
En effet l’inaccessibilité des populations à l’énergie constitue un frein pour le développement du continent africain, une bonne raison pour les acteurs de se réunir pour discuter des questions climatiques, une conférence qui sera clôturée aujourd’hui par le Premier ministre Mouhamad Dionne.
Selon lui, le Sénégal est favorable à l’initiative de ce congrès qui se tient dans notre capitale, car «nous sommes convaincus que le développement du Sénégal passe par celui de l’Afrique ».
Parlant sur la Conférence de Paris du mois de novembre et décembre prochain sur le climat, le Premier ministre affirme que « le Sénégal partage avec tous les autres pays, l’espoir que cette conférence va marquer un tournant en ce qu’elle intervient non seulement dans le contexte d’une crise de conscience, ensuite du changement climatique mais aussi parce qu’elle coïncide avec la mise en place de l’agenda post 2015 qui donnera de nouvelles responsabilités dans la gouvernance économique et environnementale mondiale ».
Pour sa part, la Présidente du comité de pilotage de la conférence Mm Fatima Dia, «la conférence de Paris va travailler pour avoir un accord climat, c'est-à-dire voir comment tous les pays du monde vont s’engager à réduire les émissions de gaz à effets de serres ».
En effet l’inaccessibilité des populations à l’énergie constitue un frein pour le développement du continent africain, une bonne raison pour les acteurs de se réunir pour discuter des questions climatiques, une conférence qui sera clôturée aujourd’hui par le Premier ministre Mouhamad Dionne.