Le prédicateur de la mosquée du Point E (quartier chic de Dakar), l'imam Kanté n’envisage pas du tout de présenter des excuses au chanteur Waly Seck, après que l’avocat de ce dernier a demandé qu’il fasse des excuses publiques pour l’abandon de l'action en justice contre lui.
« Je n’envisage pas du tout de présenter des excuses. Parce que je n’ai porté de tort à personne », a répondu le prédicateur contacté par Seneweb. Il déclare que le combat qu’il mène « dépasse la personne de Waly Seck, de sa famille, de son staff, de tout son groupe et de ses sympathisants de Lgbti ».
« Il est possible de mettre un terme à la procédure, s’il (imam Kanté) présente ses excuses à Waly Seck. Autrement, moi, j’irai jusqu’au bout», avait averti jeudi, Me Abdou Dialy Kane, avocat du chanteur.
Waly Seck avait porté un tee-shirt à l’effigie du drapeau de la communauté homosexuelle pour animer un concert lors du match du Sénégal face à l’Ouganda. L’imam Kanté avait fait une sortie dénonçant son comportement. Il l’accusait d’être un « acteur de la propagande de la communauté LGBT », un levier de la morale et de la déviance qui prépare toujours son « ma ngi djegelu » (je m’excuse, en wolof).
« Je n’envisage pas du tout de présenter des excuses. Parce que je n’ai porté de tort à personne », a répondu le prédicateur contacté par Seneweb. Il déclare que le combat qu’il mène « dépasse la personne de Waly Seck, de sa famille, de son staff, de tout son groupe et de ses sympathisants de Lgbti ».
« Il est possible de mettre un terme à la procédure, s’il (imam Kanté) présente ses excuses à Waly Seck. Autrement, moi, j’irai jusqu’au bout», avait averti jeudi, Me Abdou Dialy Kane, avocat du chanteur.
Waly Seck avait porté un tee-shirt à l’effigie du drapeau de la communauté homosexuelle pour animer un concert lors du match du Sénégal face à l’Ouganda. L’imam Kanté avait fait une sortie dénonçant son comportement. Il l’accusait d’être un « acteur de la propagande de la communauté LGBT », un levier de la morale et de la déviance qui prépare toujours son « ma ngi djegelu » (je m’excuse, en wolof).