Le procureur-adjoint de la Cour pénale internationale (CPI) s’est dit «déçu», ce lundi 15 juin, que l’Afrique du Sud n’ait pas arrêté le président soudanais Omar el-Béchir, accusé de génocide dans la région du Darfour. «Notre position a toujours été que l’obligation incombant à l’Afrique du Sud est claire, elle devait l’arrêter», a déclaré James Stewart, adjoint de la procureure Fatou Bensouda.