La provocation a provoqué de fortes réactions de protestation à Séoul et à Tokyo, mais la Corée du Nord semble plus que jamais déterminée à acquérir une force de dissuasion nucléaire.
Une réponse aux exercices militaires de la Corée du Sud et des Américains ? Cette nouvelle salve de missiles peut être vue comme une réaction aux exercices militaires massifs organisés depuis une semaine par la Corée du Sud et les États-Unis.
Des exercices réguliers qui provoquent à chaque fois la fureur de Pyongyang. Mais le véritable objectif du régime, à long terme, est d’acquérir au plus vite l’arme nucléaire et les fusées qui l’accompagnent. Le Nord multiplie ainsi les tirs depuis l’année dernière.
Ces quatre nouveaux missiles ont parcouru 1 000 kilomètres, traversant tout le territoire nord-coréen avant de s’abimer à 300 kilomètres seulement des côtes japonaises. La Corée du Sud tance la Chine Ils représentent "une claire violation des résolutions du Conseil de sécurité", a condamné le premier ministre japonais Shinzo Abe.
Le président sud-coréen par intérim, Hwang Kyo-ahn, parle lui de "menace imminente" et promet de déployer au plus vite un bouclier anti-missile américain controversé, bouclier qui ulcère la Chine. Une façon aussi de rappeler à Pékin de mieux contrôler son allié nord-coréen.
Une réponse aux exercices militaires de la Corée du Sud et des Américains ? Cette nouvelle salve de missiles peut être vue comme une réaction aux exercices militaires massifs organisés depuis une semaine par la Corée du Sud et les États-Unis.
Des exercices réguliers qui provoquent à chaque fois la fureur de Pyongyang. Mais le véritable objectif du régime, à long terme, est d’acquérir au plus vite l’arme nucléaire et les fusées qui l’accompagnent. Le Nord multiplie ainsi les tirs depuis l’année dernière.
Ces quatre nouveaux missiles ont parcouru 1 000 kilomètres, traversant tout le territoire nord-coréen avant de s’abimer à 300 kilomètres seulement des côtes japonaises. La Corée du Sud tance la Chine Ils représentent "une claire violation des résolutions du Conseil de sécurité", a condamné le premier ministre japonais Shinzo Abe.
Le président sud-coréen par intérim, Hwang Kyo-ahn, parle lui de "menace imminente" et promet de déployer au plus vite un bouclier anti-missile américain controversé, bouclier qui ulcère la Chine. Une façon aussi de rappeler à Pékin de mieux contrôler son allié nord-coréen.