La France insoumise (LFI) ne participera pas aux consultations budgétaires organisées mercredi par le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu.
Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-NFP à l’Assemblée nationale, a indiqué en conférence de presse que les « insoumis » n’ont « absolument rien à négocier avec les macronistes (…), qui n’ont aucune légitimité pour continuer une politique dont personne ne veut ». Elle a ajouté qu’elle avait été contactée « tardivement, vers 21 heures » par Matignon et dénoncé « un sens du timing extrêmement méprisant ».
Depuis sa nomination le 9 septembre, Sébastien Lecornu a engagé une série de rencontres politiques pour tenter de bâtir une majorité autour du budget 2026. Après avoir consulté le bloc central et Les Républicains, puis des syndicats et organisations patronales, il a prévu d’échanger mardi avec le groupe LIOT, le Parti radical, le Parti radical de gauche et le parti Utiles.
Mercredi matin, les responsables du Parti socialiste, des Écologistes et du Parti communiste français seront reçus à Matignon, tout comme le Rassemblement national et Place publique, la formation de Raphaël Glucksmann. Jeudi, ce sera au tour d’Éric Ciotti et de son mouvement Union des droites pour la République.
Le refus de LFI survient dans un climat social de plus en plus tendu. Deux jours après ces consultations, une journée de mobilisation interprofessionnelle est prévue le 18 septembre, avec des perturbations annoncées dans les transports, les écoles, les services publics, l’énergie, et désormais les pharmacies, appelées à fermer massivement leurs portes. Les syndicats espèrent faire descendre plus de 400 000 personnes dans la rue, soit le double de la journée du 10 septembre marquée par le mouvement « Bloquons tout ».
Pour rappel, le rejet du vote de confiance demandé par l'ancien Premier ministre François Bayrou sur son projet de budget 2026 a conduit à sa démission la semaine dernière et à la nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre.
Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-NFP à l’Assemblée nationale, a indiqué en conférence de presse que les « insoumis » n’ont « absolument rien à négocier avec les macronistes (…), qui n’ont aucune légitimité pour continuer une politique dont personne ne veut ». Elle a ajouté qu’elle avait été contactée « tardivement, vers 21 heures » par Matignon et dénoncé « un sens du timing extrêmement méprisant ».
Depuis sa nomination le 9 septembre, Sébastien Lecornu a engagé une série de rencontres politiques pour tenter de bâtir une majorité autour du budget 2026. Après avoir consulté le bloc central et Les Républicains, puis des syndicats et organisations patronales, il a prévu d’échanger mardi avec le groupe LIOT, le Parti radical, le Parti radical de gauche et le parti Utiles.
Mercredi matin, les responsables du Parti socialiste, des Écologistes et du Parti communiste français seront reçus à Matignon, tout comme le Rassemblement national et Place publique, la formation de Raphaël Glucksmann. Jeudi, ce sera au tour d’Éric Ciotti et de son mouvement Union des droites pour la République.
Le refus de LFI survient dans un climat social de plus en plus tendu. Deux jours après ces consultations, une journée de mobilisation interprofessionnelle est prévue le 18 septembre, avec des perturbations annoncées dans les transports, les écoles, les services publics, l’énergie, et désormais les pharmacies, appelées à fermer massivement leurs portes. Les syndicats espèrent faire descendre plus de 400 000 personnes dans la rue, soit le double de la journée du 10 septembre marquée par le mouvement « Bloquons tout ».
Pour rappel, le rejet du vote de confiance demandé par l'ancien Premier ministre François Bayrou sur son projet de budget 2026 a conduit à sa démission la semaine dernière et à la nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre.