La cathédrale de Niamey, en ce jour de prière, est remplie de fidèles au terme de trois jours de jeûne pour la libération du père Maccalli enlevé à Bamoanga il y a plus d'un mois. Amidou, un fidèle : « Nous venons juste de sortir de l’église et au cours de cette eucharistie, la dernière prière que nous venons de réciter, c’est par rapport à sa libération. »
Le religieux enlevé est connu de tous ici. Ce fidèle se souvient encore : « C’est vrai que ça nous attriste tous qu’il soit en captivité jusqu’à ce jour. Il est dans sa cinquième semaine de captivité. Nous implorons le père éternel, le dieu tout-puissant, qu’il retrouve cette liberté. »
Les fidèles ont prié et chanté. Madame Elisabeth Seydou garde encore espoir : « Il n’a rien contre eux. Mais nous savons que nous avons l’espoir qu’un jour il retrouvera la liberté des enfants de Dieu, que Dieu nous a promis en tant que chrétien. » Durant ces jeûnes, des messes ont été organisées dans toutes les églises du pays.
Le religieux enlevé est connu de tous ici. Ce fidèle se souvient encore : « C’est vrai que ça nous attriste tous qu’il soit en captivité jusqu’à ce jour. Il est dans sa cinquième semaine de captivité. Nous implorons le père éternel, le dieu tout-puissant, qu’il retrouve cette liberté. »
Les fidèles ont prié et chanté. Madame Elisabeth Seydou garde encore espoir : « Il n’a rien contre eux. Mais nous savons que nous avons l’espoir qu’un jour il retrouvera la liberté des enfants de Dieu, que Dieu nous a promis en tant que chrétien. » Durant ces jeûnes, des messes ont été organisées dans toutes les églises du pays.