Depuis fin septembre 2021, les agents des Centres de traitement des épidémies (CTE) réclament leurs primes de risque et de motivation, plusieurs démarches ont été entamées sans succès. Par ailleurs, le Collectif national des Centres de traitement des épidémies (CTE) a voulu tenir, dans ce sillage, une conférence de presse ce mardi 7 décembre à l'Ecole nationale de développement sanitaire et social (ENDSS). Mais finalement elle a été annulée par le Directeur de l’ENDSS.
Selon les informations recueillies par l’équipe de Pressafrik sur place « c’est le Directeur l’ENDSS qui a annulé la rencontre ». Les membres du Collectif national des centres de traitement des épidémies ont brillé par leur absence sur les lieux. Quant au directeur de l’ENDSS « il n’était pas encore arrivé sur les lieux », a renseigné le vigile. Le motif de l’annulation de la rencontre est inconnu.
Cette conférence de presse avait pour but de réclamer les arriérés de leurs indemnités de risque qu’ils n’ont pas perçues, mais pour dénoncer l’injustice qu’ils sont en train de subir de la part de l’Etat. Ces deniers ont affirmé lors d’un face à face avec la presse qu’ils ont épuisé tous les moyens à leurs dispositions pour alerter les autorités en vain. Ces travailleurs, des médecins, infirmiers, techniciens de surface, agents de labo, ont déclaré voir en cette situation « une maltraitance de la part de l’Etat du Sénégal ».
Selon les informations recueillies par l’équipe de Pressafrik sur place « c’est le Directeur l’ENDSS qui a annulé la rencontre ». Les membres du Collectif national des centres de traitement des épidémies ont brillé par leur absence sur les lieux. Quant au directeur de l’ENDSS « il n’était pas encore arrivé sur les lieux », a renseigné le vigile. Le motif de l’annulation de la rencontre est inconnu.
Cette conférence de presse avait pour but de réclamer les arriérés de leurs indemnités de risque qu’ils n’ont pas perçues, mais pour dénoncer l’injustice qu’ils sont en train de subir de la part de l’Etat. Ces deniers ont affirmé lors d’un face à face avec la presse qu’ils ont épuisé tous les moyens à leurs dispositions pour alerter les autorités en vain. Ces travailleurs, des médecins, infirmiers, techniciens de surface, agents de labo, ont déclaré voir en cette situation « une maltraitance de la part de l’Etat du Sénégal ».