Premier obstacle à surmonter : le financement. Une conférence de bailleurs organisée en février dernier à Bruxelles avait obtenu 413 millions d'euros de promesses de dons pour la première année de la force. D'après le rapport de l'ONU, à l'heure actuelle, moins de la moitié de ces fonds ont été décaissés.
Autre problème, directement lié au premier : le manque de matériel, notamment de protection contre les mines artisanales. La force conjointe attend toujours un certain nombre de véhicules blindés.
Difficultés à identifier les besoins, lenteurs des appels d'offres, retard des décaissements, autant de contraintes qui ralentissent l'équipement de la force. « Des difficultés déjà identifiées dès le premier trimestre 2018 », confirme une source militaire française dans la zone.
En parallèle, alors qu'elle peine à organiser sa montée en puissance, la force conjointe est harcelée par les attaques jihadistes. Celle du 28 juin dernier a notamment anéanti le QG de Sévaré au centre du Mali.
Pour toutes ces raisons, le G5 a dû reporter deux fois la date limite de réalisation de sa pleine capacité opérationnelle. Le nouveau calendrier n'a toujours pas été défini.
Autre problème, directement lié au premier : le manque de matériel, notamment de protection contre les mines artisanales. La force conjointe attend toujours un certain nombre de véhicules blindés.
Difficultés à identifier les besoins, lenteurs des appels d'offres, retard des décaissements, autant de contraintes qui ralentissent l'équipement de la force. « Des difficultés déjà identifiées dès le premier trimestre 2018 », confirme une source militaire française dans la zone.
En parallèle, alors qu'elle peine à organiser sa montée en puissance, la force conjointe est harcelée par les attaques jihadistes. Celle du 28 juin dernier a notamment anéanti le QG de Sévaré au centre du Mali.
Pour toutes ces raisons, le G5 a dû reporter deux fois la date limite de réalisation de sa pleine capacité opérationnelle. Le nouveau calendrier n'a toujours pas été défini.