Alaa et Gamal Moubarak avaient été condamnés en mai à trois ans de prison pour corruption, mais un tribunal vient d'ordonner leur libération, après qu'ils ont déposé une demande de remise en liberté. Une demande justifiée par le fait qu'ils ont passé le temps prévu par leur peine derrière les barreaux, si l'on tient compte de leur détention provisoire.