La lèpre refait surface. Une enquête effectuée dans les villages de Mballing à Mbour et de Koutal à Kaolack, a permis de déceler plusieurs nouveaux cas de la maladie. Et, ce sont les enfants qui sont les plus touchés, a informé la direction de l’Action sociale de Sowane.
«Au début c’était sur l’initiative d’une recherche faite par l’association allemande de lutte contre la lèpre (DAHW) et la PNL qui montre que la lèpre recommence. Mais il faut le dire très clairement. Ce qui se passe, on dit que la lèpre est éradiquée à moins de 1 pour 10 000 habitants et nous en sommes à moins que cela», a déclaré Khadissatou Gaye Alainchar, directrice de l’Action sociale au ministère de la Santé.
Toutefois, elle a précisé que : «Si on dit que ce ne sont que les VRS, on va encore augmenter la stigmatisation et ce n’est pas ça le but. Et à Sowane, on parle d’un cas qui date de 3 ans déjà. Mais en même temps il y a des gens, hors de ces villages qui sont pris en charge par le Centre hospitalier de l’Ordre de Malte (CHOM) de Fann». La directrice d'ajouter : «on a vu de nouveaux cas, et c’est nouveaux cas on les retrouve sur les enfants».
S’agissant des facteurs médicaux, a-t-elle expliqué, «on avait une mono thérapie c’est-à-dire que les anciens malades étaient traités par un seul médicament et avec le temps, ils peuvent être contagieux. Quand on traite avec beaucoup de médicaments, 48 heures après le malade n’est plus contagieux».
A en croire Mme Alainchar, les autres aspects sont la promiscuité et la pauvreté.
La directrice de l’Action sociale a signalé : «ce qui est important à savoir, c’est qu'effectivement, si les cas sont détectés tôt, les gens traités n’auront pas de séquelles.
«Au début c’était sur l’initiative d’une recherche faite par l’association allemande de lutte contre la lèpre (DAHW) et la PNL qui montre que la lèpre recommence. Mais il faut le dire très clairement. Ce qui se passe, on dit que la lèpre est éradiquée à moins de 1 pour 10 000 habitants et nous en sommes à moins que cela», a déclaré Khadissatou Gaye Alainchar, directrice de l’Action sociale au ministère de la Santé.
Toutefois, elle a précisé que : «Si on dit que ce ne sont que les VRS, on va encore augmenter la stigmatisation et ce n’est pas ça le but. Et à Sowane, on parle d’un cas qui date de 3 ans déjà. Mais en même temps il y a des gens, hors de ces villages qui sont pris en charge par le Centre hospitalier de l’Ordre de Malte (CHOM) de Fann». La directrice d'ajouter : «on a vu de nouveaux cas, et c’est nouveaux cas on les retrouve sur les enfants».
S’agissant des facteurs médicaux, a-t-elle expliqué, «on avait une mono thérapie c’est-à-dire que les anciens malades étaient traités par un seul médicament et avec le temps, ils peuvent être contagieux. Quand on traite avec beaucoup de médicaments, 48 heures après le malade n’est plus contagieux».
A en croire Mme Alainchar, les autres aspects sont la promiscuité et la pauvreté.
La directrice de l’Action sociale a signalé : «ce qui est important à savoir, c’est qu'effectivement, si les cas sont détectés tôt, les gens traités n’auront pas de séquelles.