Depuis 2010, seulement 66 dossiers de résidents algériens ont été déposés au Civen, le Comité français d'indemnisation des victimes des essais nucléaires, et une seule personne a été reconnue comme étant victime des essais français menés dans les années 1960 dans le sud du Sahara.
L'association Ican-France, qui milite pour l'abolition des armes nucléaires, faisait pression depuis plusieurs années sur le gouvernement français pour que les textes soient traduits en langue arabe. Jean-Marie Collin, directeur de campagne chez Ican-France, explique : « On est content que ça soit fait. Le premier manque venait de l'État français ou bien tout simplement de l'ambassade de France qui a très peu relayé cette loi, ne serait-ce déjà qu'en langue français au départ, auprès des différentes populations, auprès des différents acteurs associatifs qui travaillaient sur ce dossier. »
Le directeur de campagne de Ican-France espère que cette traduction en langue arabe aura un impact significatif. Comme en Polynésie où le nombre de dossiers envoyés au Civen a triplé après la traduction de la procédure d'indemnisation en langue polynésienne.
L'association Ican-France, qui milite pour l'abolition des armes nucléaires, faisait pression depuis plusieurs années sur le gouvernement français pour que les textes soient traduits en langue arabe. Jean-Marie Collin, directeur de campagne chez Ican-France, explique : « On est content que ça soit fait. Le premier manque venait de l'État français ou bien tout simplement de l'ambassade de France qui a très peu relayé cette loi, ne serait-ce déjà qu'en langue français au départ, auprès des différentes populations, auprès des différents acteurs associatifs qui travaillaient sur ce dossier. »
Le directeur de campagne de Ican-France espère que cette traduction en langue arabe aura un impact significatif. Comme en Polynésie où le nombre de dossiers envoyés au Civen a triplé après la traduction de la procédure d'indemnisation en langue polynésienne.