Pourtant, derrière ce hit se tenait un procès à enjeu. Une chanteuse répondant au nom de Rebecca Fancescatti accusait Lady Gaga d'avoir plagié son titre Juda de 1999. Elle a ainsi déposé plainte en août 2011 auprès de la cour fédérale des États-Unis. Outre des extraits audio, pour appuyer sa théorie, l'accusatrice souligne que son ancien bassiste, Brian Gaynor, a travaillé sur près de 17 titres de Lady Gaga dont certains ont composé l'album Born This Way.
La justice américaine a rendu son verdict et Lady Gaga a obtenu gain de cause, la cour fédérale ne reconnaissant pas le plagiat. Cependant, l'affaire ne s'arrête pas là. Lady Gaga réclame désormais 1,4 million de dollars à la plaignante au titre des frais de justice engagés, et notamment les honoraires de ses avocats. Le site américain TMZ révèle en effet que la superstar de la chanson a rempli les documents nécessaires pour faire valoir ses droits. Lady Gaga indique dans sa déposition qu'elle a passé trois ans à tenter de maintenir sa bonne réputation, salie par cette affaire.
C'est donc délestée de cette affaire, regonflée à bloc, que Lady Gaga peut poursuivre son ArtRave: The Artpop Ball , sa tournée mondiale, qu'elle présente à travers l'Europe cet automne, mais aussi la promotion de son surprenant album Cheek to Cheek , fruit de sa rencontre avec le crooner Tony Bennett. Dans les bacs depuis le 22 septembre, l'opus jazzy est porté par les premiers extraits I Can't Give You Anything But Love et Anything Goes.
La justice américaine a rendu son verdict et Lady Gaga a obtenu gain de cause, la cour fédérale ne reconnaissant pas le plagiat. Cependant, l'affaire ne s'arrête pas là. Lady Gaga réclame désormais 1,4 million de dollars à la plaignante au titre des frais de justice engagés, et notamment les honoraires de ses avocats. Le site américain TMZ révèle en effet que la superstar de la chanson a rempli les documents nécessaires pour faire valoir ses droits. Lady Gaga indique dans sa déposition qu'elle a passé trois ans à tenter de maintenir sa bonne réputation, salie par cette affaire.
C'est donc délestée de cette affaire, regonflée à bloc, que Lady Gaga peut poursuivre son ArtRave: The Artpop Ball , sa tournée mondiale, qu'elle présente à travers l'Europe cet automne, mais aussi la promotion de son surprenant album Cheek to Cheek , fruit de sa rencontre avec le crooner Tony Bennett. Dans les bacs depuis le 22 septembre, l'opus jazzy est porté par les premiers extraits I Can't Give You Anything But Love et Anything Goes.