«J’aime le Sénégal, j’aime la Guinée et j’aime l’Afrique. C’est le cri du cœur lancé hier par Lama Sidibé, en marge de sa conférence de presse en prélude aux concerts qu’il doit produire au Sénégal.
C’est dans ce sens qu’il a invité les Africains en général, et les Sénégalais en particulier à y assister : «Quand les Sénégalais viennent en Guinée, ce ne sont pas les Sénégalais qui remplissent les salles mais ce sont bien le Guinéens qui y sont les plus nombreux. Et je veux que ce soit pareil au Sénégal. Car c’est un concert pour le panafricanisme, c’est un concert pour tous les Africains, et je veux tous les voir assister aux deux concerts», a-t-il lancé.
Se prononçant sur la fin de l’épidémie d’Ebola qui sévissait dans son pays, le Guinéen regrette la tension qu’elle a failli apporter avec la fermeture des frontières du Sénégal : «D’ici peu, il sera déclaré la fin officielle d’Ebola. Mais nous prions Dieu pour qu’elle ne revienne jamais parce qu’elle a failli amener de la haine entre le Sénégal et la Guinée. Car disait-on, le Sénégal avait fermé ses frontières», a-t-il déclaré.
Et de conclure sur ce sujet : «Ce que les gens ne comprenaient pas, c’est que le Sénégal avait l’obligation de le faire car, s’il avait été atteint, il n’aurait pas la possibilité de venir aider la Guinée»
C’est dans ce sens qu’il a invité les Africains en général, et les Sénégalais en particulier à y assister : «Quand les Sénégalais viennent en Guinée, ce ne sont pas les Sénégalais qui remplissent les salles mais ce sont bien le Guinéens qui y sont les plus nombreux. Et je veux que ce soit pareil au Sénégal. Car c’est un concert pour le panafricanisme, c’est un concert pour tous les Africains, et je veux tous les voir assister aux deux concerts», a-t-il lancé.
Se prononçant sur la fin de l’épidémie d’Ebola qui sévissait dans son pays, le Guinéen regrette la tension qu’elle a failli apporter avec la fermeture des frontières du Sénégal : «D’ici peu, il sera déclaré la fin officielle d’Ebola. Mais nous prions Dieu pour qu’elle ne revienne jamais parce qu’elle a failli amener de la haine entre le Sénégal et la Guinée. Car disait-on, le Sénégal avait fermé ses frontières», a-t-il déclaré.
Et de conclure sur ce sujet : «Ce que les gens ne comprenaient pas, c’est que le Sénégal avait l’obligation de le faire car, s’il avait été atteint, il n’aurait pas la possibilité de venir aider la Guinée»