«On ne peut pas régler ce problème en dehors d’une solution qui devrait intégrer le problème de la rémunération du service de l’eau dans la ville de Touba. Tant que ce problème n’est pas fixé, tant qu’il n’est pas réglé, nous irons toujours vers une solution qui n’est pas la bonne pour les gens qui vivent dans la ville de Touba ». Ces propos sont de Lansana Gagny Sakho qui se prononçait l’approvisionnement en eau potable de la ville sainte de Touba et de ses environs.
Mais, rassure le directeur général de l’OFOR, cette solution doit être consensuelle : «Naturellement, avec la spécificité de cette ville, ça devra nécessiter une très large concertation. Mais je pense que tous les acteurs qui travaillent dans le domaine de l’eau à Touba, que ce soit la mairie ou Mawou Rahmati, sont conscients d’une chose, celle d’aller vers une solution à long terme. Et ne pas uniquement travailler sur le court terme. Je pense qu’il y a l’unanimité à ce niveau ».
Selon M. Sakho, dans un entretien accordé à Sud Quotidien, c’est l’unique solution. Sinon déclare-t-il «on n’arrivera jamais à régler les problèmes de santé publique».
Mais, rassure le directeur général de l’OFOR, cette solution doit être consensuelle : «Naturellement, avec la spécificité de cette ville, ça devra nécessiter une très large concertation. Mais je pense que tous les acteurs qui travaillent dans le domaine de l’eau à Touba, que ce soit la mairie ou Mawou Rahmati, sont conscients d’une chose, celle d’aller vers une solution à long terme. Et ne pas uniquement travailler sur le court terme. Je pense qu’il y a l’unanimité à ce niveau ».
Selon M. Sakho, dans un entretien accordé à Sud Quotidien, c’est l’unique solution. Sinon déclare-t-il «on n’arrivera jamais à régler les problèmes de santé publique».