«Le président de la République opte pour une solution négociée sur la crise gambienne et toutes les institutions internationales ont adopté la même posture à savoir une transition pacifique en Gambie afin que le Président élu, Adama Barrow puisse être investi le 19 janvier prochain », a répondu Mankeur Ndiaye aux députés qui s’inquiétaient des conséquences de l’entêtement de Yaya Jammeh à rester à la tête de la Gambie malgré sa défaite.
Dans son désir de lever toute équivoque, le chef de la diplomatie sénégalaise martèle : «nous estimons qu’à partir du 18 janvier à minuit, le Président Yaya Jammeh ne sera plus reconnu comme président de la Gambie».
Rappelant la haute considération que porte le régime de Macky Sall à la Gambie, M. Ndiaye se souvient que face aux menaces proférées à l’encontre du Sénégal par le «Roi de Kanilaï, son homologue sénégalais n’a jamais répliqué. Et d’ailleurs, soutient-il, «le président de la République s’est rendu d’abord en premier en Gambie à la suite de son élection».
Dans son désir de lever toute équivoque, le chef de la diplomatie sénégalaise martèle : «nous estimons qu’à partir du 18 janvier à minuit, le Président Yaya Jammeh ne sera plus reconnu comme président de la Gambie».
Rappelant la haute considération que porte le régime de Macky Sall à la Gambie, M. Ndiaye se souvient que face aux menaces proférées à l’encontre du Sénégal par le «Roi de Kanilaï, son homologue sénégalais n’a jamais répliqué. Et d’ailleurs, soutient-il, «le président de la République s’est rendu d’abord en premier en Gambie à la suite de son élection».