Malgré des déclarations concernant une «reprise de la guerre» contre l'armée malienne faite le 29 novembre par Mahamadou Djeri, le vice-président du MNLA, le gouvernement du pays, par l'intermédiaire de son Premier ministre Oumar Tatam Ly reste dans une volonté d'apaisement: «Un Etat ne réagit pas à une telle déclaration. D'ailleurs (...) le lendemain, d'autres voix du MNLA se sont élevées pour fortement nuancer la position de la veille« a-t-il déclaré au journal «l'Essor».