Dans un discours prononcé lors de la cérémonie d'ouverture de la deuxième édition du Salon Jeunesse, Emploi, Mobilité (SJEM), le Premier ministre, Amadou Bâ, a insisté sur l'importance de la jeunesse, de l'emploi et de la mobilité dans le contexte du monde actuel. « Le sujet qui nous réunit aujourd’hui est à la fois crucial et intemporel : jeunesse, emploi et mobilité. L'emploi et la mobilité des jeunes constituent un phénomène qui transcende les frontières et les époques et qui mérite d’être compris et abordé de manière attentive et bienveillante. La mobilité est un moteur de progrès et d’innovation, les idées, les connaissances et les talents circulent à travers les frontières, créant un échange culturel et intellectuel fécond », a-t-il déclaré ce lundi 22 mai.
Afin d'offrir des opportunités concrètes aux jeunes, cette « mobilité doit être encadrée et organisée de manière équitable, en tenant compte à la fois des besoins des migrants et des intérêts de la société d'accueil. » Pour faire face à l'immigration massive des jeunes, les gouvernements ont été invités à « s'attaquer aux causes profondes de ce phénomène et d'agir de manière proactive pour y remédier. Pour cela, il faut mettre l'accent sur la promotion de l'emploi, de l'éducation, de la formation, de l'entrepreneuriat et de l'innovation, ainsi que sur la création d'un environnement favorable aux petites et moyennes entreprises (PME). »
Les jeunes au cœur des politiques gouvernementales
D'après Amadou Bâ, l'autonomisation des jeunes est au cœur des politiques gouvernementales. Pour illustrer ses dires, il a mis en avant les programmes « ambitieux » mis en place par le président de la République, Macky Sall, pour la création d'emplois pour les jeunes. Il a cité en guise d'exemple le projet Xeuyou Ndaw Yi. Selon lui, « le programme d'urgence pour l'insertion socio-économique des jeunes Xeuyou Ndaw Yi a permis la création de 90 000 emplois durables dans tout le secteur économique, il a favorisé la formation de plus de 31 000 jeunes aux divers métiers. Sur la même période, des financements ont été octroyés aux femmes et aux jeunes à hauteur de 45 milliards en 2021 et 2022, au profit de 140 000 bénéficiaires. »
Ledit programme est considéré par le Premier ministre comme « un véritable catalyseur dans le domaine de la croissance économique et du développement social en fournissant des compétences adaptées aux besoins du marché du travail. Il permet à nos jeunes de se forger un avenir meilleur, de sortir de la pauvreté et de prendre part activement à la construction d'une société plus juste et plus prospère ».
Pour lui, Xeuyou Ndaw Yi va au-delà de la simple création d'emplois, « il incarne un véritable engagement envers l'autonomisation de nos jeunes. Il leur offre non seulement des moyens de subsistance, mais aussi une voix vers l'indépendance, la confiance en soi. En les soutenant Macky Sall leur donne l’occasion de devenir des agents positifs dans la société du Sénégal. »
La nécessité de partenariats financiers
Le chef du gouvernement a aussi souligné l'importance du partenariat avec la communauté internationale. Ce, dans le but « de promouvoir l'accès aux financements, encourager le développement durable et faciliter le transfert de technologies ». Pour se faire il a déclaré que des politiques inclusives, respectueuses des droits humains et favorables à l'intégration sociale et économique des migrants doivent être mises en place.
« Pour favoriser la création d’emplois nous devons également renforcer notre partenariat avec la communauté internationale nous avons besoin de leurs soutiens pour promouvoir l’accès aux financements, pour encourager les financements durables et pour faciliter le transfert de technologies », a-t-il conclu.
Afin d'offrir des opportunités concrètes aux jeunes, cette « mobilité doit être encadrée et organisée de manière équitable, en tenant compte à la fois des besoins des migrants et des intérêts de la société d'accueil. » Pour faire face à l'immigration massive des jeunes, les gouvernements ont été invités à « s'attaquer aux causes profondes de ce phénomène et d'agir de manière proactive pour y remédier. Pour cela, il faut mettre l'accent sur la promotion de l'emploi, de l'éducation, de la formation, de l'entrepreneuriat et de l'innovation, ainsi que sur la création d'un environnement favorable aux petites et moyennes entreprises (PME). »
Les jeunes au cœur des politiques gouvernementales
D'après Amadou Bâ, l'autonomisation des jeunes est au cœur des politiques gouvernementales. Pour illustrer ses dires, il a mis en avant les programmes « ambitieux » mis en place par le président de la République, Macky Sall, pour la création d'emplois pour les jeunes. Il a cité en guise d'exemple le projet Xeuyou Ndaw Yi. Selon lui, « le programme d'urgence pour l'insertion socio-économique des jeunes Xeuyou Ndaw Yi a permis la création de 90 000 emplois durables dans tout le secteur économique, il a favorisé la formation de plus de 31 000 jeunes aux divers métiers. Sur la même période, des financements ont été octroyés aux femmes et aux jeunes à hauteur de 45 milliards en 2021 et 2022, au profit de 140 000 bénéficiaires. »
Ledit programme est considéré par le Premier ministre comme « un véritable catalyseur dans le domaine de la croissance économique et du développement social en fournissant des compétences adaptées aux besoins du marché du travail. Il permet à nos jeunes de se forger un avenir meilleur, de sortir de la pauvreté et de prendre part activement à la construction d'une société plus juste et plus prospère ».
Pour lui, Xeuyou Ndaw Yi va au-delà de la simple création d'emplois, « il incarne un véritable engagement envers l'autonomisation de nos jeunes. Il leur offre non seulement des moyens de subsistance, mais aussi une voix vers l'indépendance, la confiance en soi. En les soutenant Macky Sall leur donne l’occasion de devenir des agents positifs dans la société du Sénégal. »
La nécessité de partenariats financiers
Le chef du gouvernement a aussi souligné l'importance du partenariat avec la communauté internationale. Ce, dans le but « de promouvoir l'accès aux financements, encourager le développement durable et faciliter le transfert de technologies ». Pour se faire il a déclaré que des politiques inclusives, respectueuses des droits humains et favorables à l'intégration sociale et économique des migrants doivent être mises en place.
« Pour favoriser la création d’emplois nous devons également renforcer notre partenariat avec la communauté internationale nous avons besoin de leurs soutiens pour promouvoir l’accès aux financements, pour encourager les financements durables et pour faciliter le transfert de technologies », a-t-il conclu.