
En marge du match entre le PSG et l'Inter de Milan, des affrontements ont éclaté à Paris entre des individus et les forces de l'ordre à Paris, notamment sur les Champs-Élysées.
Au moins 559 personnes ont été interpellées en France, selon la police. Le préfet de Paris annonce aussi "491 interpellations, dont 392 à Paris", ainsi que "neuf fonctionnaires ou militaires de la gendarmerie, tous blessés légers" dans la capitale.
Selon Laurent Nunez, le "bilan est moins élevé que ce qu'on a pu connaitre par le passé", même si les autorités ne "s'habiteront jamais" à ce type de violences.
Le préfet de police de Paris a évoqué "quatre pillages de commerces" à Paris : deux sur l'avenue de Wagram, un autre sur la rue Pierre de Serbie, le quatrième sur les Champs Élysées, un magasin de chaussures de sports dans lequel un certain nombre de commerces pillés."
Lors d'un point presse organisé à la mi-journée, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a dénoncé des "bandes de pilleurs et de casseurs" qui ont déferlé à Paris hier après la victoire du PSG. Il a pointé "des personnes manifestement là pour s'en prendre aux forces de l'ordre". Ces individus "ne regardaient même pas le match", a-t-il ajouté.
Il a aussi évoqué "plusieurs milliers de personnes venues commettre des exactions." Les Champs-Élysées pansent leurs plaies après les tensions de la nuit et alors que la parade des joueurs du PSG doit commencer aux alentours de 17h.
Deux policiers ont été blessés par des jets de projectile place des Ternes. Plusieurs commerces ont été pillés à ce même endroit. Une trentaine de personnes ont aussi été interpellées à proximité du magasin Foot Locker des Champs-Élysées, qui a été dévalisé. Toutes ont été placées en garde à vue.
Au moins 559 personnes ont été interpellées en France, selon la police. Le préfet de Paris annonce aussi "491 interpellations, dont 392 à Paris", ainsi que "neuf fonctionnaires ou militaires de la gendarmerie, tous blessés légers" dans la capitale.
Selon Laurent Nunez, le "bilan est moins élevé que ce qu'on a pu connaitre par le passé", même si les autorités ne "s'habiteront jamais" à ce type de violences.
Le préfet de police de Paris a évoqué "quatre pillages de commerces" à Paris : deux sur l'avenue de Wagram, un autre sur la rue Pierre de Serbie, le quatrième sur les Champs Élysées, un magasin de chaussures de sports dans lequel un certain nombre de commerces pillés."
Lors d'un point presse organisé à la mi-journée, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a dénoncé des "bandes de pilleurs et de casseurs" qui ont déferlé à Paris hier après la victoire du PSG. Il a pointé "des personnes manifestement là pour s'en prendre aux forces de l'ordre". Ces individus "ne regardaient même pas le match", a-t-il ajouté.
Il a aussi évoqué "plusieurs milliers de personnes venues commettre des exactions." Les Champs-Élysées pansent leurs plaies après les tensions de la nuit et alors que la parade des joueurs du PSG doit commencer aux alentours de 17h.
Deux policiers ont été blessés par des jets de projectile place des Ternes. Plusieurs commerces ont été pillés à ce même endroit. Une trentaine de personnes ont aussi été interpellées à proximité du magasin Foot Locker des Champs-Élysées, qui a été dévalisé. Toutes ont été placées en garde à vue.