«Tous les efforts devraient être concentrés dans la perspective de trouver des solutions à ces perturbations». C’est par ces mots que le secrétaire général du Sels/Originel répond au ministère de l’Education nationale qui envisage une prolongation de l’année scolaire.
Pour Oumar Wally Zoumarou, au lieu de prolonger l’année, le gouvernement devrait proposer d’autres alternatives notamment de couper l’année scolaire en deux (2). «Si déjà on envisage une prolongation ou de repousser les Examens, au moment où les perturbations se poursuivent, autant proposer à ce qu’on coupe l’année scolaire 2017-2018 à celle de 2018-2019», propose-t-il.
Selon le syndicaliste, «dans les propositions, il va falloir qu’on soit beaucoup plus pratiques, c’est-à-dire régler les questions de l’heure et ne pas mettre la charrue avant les bœufs. On ne peut pas envisager de sauver une année scolaire au moment où nous sommes en crise », martèle-t-il.
L’enseignant a proposé des pistes de sortie de crise. Pour lui, il faut « d’abord régler les problèmes qui sont posés sur la table. La lancinante question du respect des accords, les lenteurs administratives, le paiement des rappels entre autres, ce sont des questions sur lesquelles on ne saurait transiger », prévient-il.
Pour Oumar Wally Zoumarou, au lieu de prolonger l’année, le gouvernement devrait proposer d’autres alternatives notamment de couper l’année scolaire en deux (2). «Si déjà on envisage une prolongation ou de repousser les Examens, au moment où les perturbations se poursuivent, autant proposer à ce qu’on coupe l’année scolaire 2017-2018 à celle de 2018-2019», propose-t-il.
Selon le syndicaliste, «dans les propositions, il va falloir qu’on soit beaucoup plus pratiques, c’est-à-dire régler les questions de l’heure et ne pas mettre la charrue avant les bœufs. On ne peut pas envisager de sauver une année scolaire au moment où nous sommes en crise », martèle-t-il.
L’enseignant a proposé des pistes de sortie de crise. Pour lui, il faut « d’abord régler les problèmes qui sont posés sur la table. La lancinante question du respect des accords, les lenteurs administratives, le paiement des rappels entre autres, ce sont des questions sur lesquelles on ne saurait transiger », prévient-il.