L’eau douce ne représente qu’une portion congrue à l’échelle de la Terre avec d’importantes
distorsions au niveau de sa répartition mondiale. C'est que ce dit le Professeur d'Institute of Research for Development, Luc Descroix, qui a fait un balayage sur la GIRE allant de ce qui se fait en Europe jusqu’au Sénégal avec un focus sur le fleuve Sénégal, celui de la Gambie,... Ceci en marge du forum organisé par l’OVSEO.
Selon lui, «le Sénégal dispose à un peu prés de 2000 m3 par habitant et par an. Toutefois, la construction d’un barrage s’impose pour relever les défis importants liés à la gestion des ressources en eau stratégiques. Il est d’avis que l’eau est bien plus source de coopérations que de conflits».
Sur la question des conflits autour de l’eau, le Président du Partenariat National de l'eau au Sénégal (PNES) et non moins modérateur de ce panel, estime que «ce qui peut créer des conflits n’est pas lié directement à l’eau elle-même mais c’est lié autour de l’eau. C’est quand il n’y a pas d’équité dans le partage des bénéfices des aménagements liées à l’eau».
A l’en croire, si le partage des bénéfices n’est pas équitable, il y aura forcément conflits. Et, pour y faire face, la coopération sur l’eau s’impose.
«La GIRE concerne également l’assainissement. Tout ceci se tient. Quand on parle d’eau douce, de comment irriguer d’eau douce pour faire l’agriculture, abreuver des bétails pour la consommation humaine, cela va traverser forcément des zones où on a aménagé pour faire des bouches dégoûts, l’eau usée», tient à souligner le président de l’OVSEO. Mahamadou Baldé d'ajouter qu’ «il y a forcément un recoupement à faire entre l’aménagement pour les eaux qui servent à la consommation et à la production. Mais également le retour de l’eau c’est-à-dire les eaux qui ont déjà servi, qui sont des eaux usées, qui peuvent être recyclées et réinjectées».
Venu représenter le Directeur de la Planification et de Gestion de l’eau, Niokhor Ndour, Boubacar Cissé renseigne que « le Sénégal est choisi comme pays pilote pour conduire la nouvelle stratégie de définition d’indicateurs pour les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD)».
distorsions au niveau de sa répartition mondiale. C'est que ce dit le Professeur d'Institute of Research for Development, Luc Descroix, qui a fait un balayage sur la GIRE allant de ce qui se fait en Europe jusqu’au Sénégal avec un focus sur le fleuve Sénégal, celui de la Gambie,... Ceci en marge du forum organisé par l’OVSEO.
Selon lui, «le Sénégal dispose à un peu prés de 2000 m3 par habitant et par an. Toutefois, la construction d’un barrage s’impose pour relever les défis importants liés à la gestion des ressources en eau stratégiques. Il est d’avis que l’eau est bien plus source de coopérations que de conflits».
Sur la question des conflits autour de l’eau, le Président du Partenariat National de l'eau au Sénégal (PNES) et non moins modérateur de ce panel, estime que «ce qui peut créer des conflits n’est pas lié directement à l’eau elle-même mais c’est lié autour de l’eau. C’est quand il n’y a pas d’équité dans le partage des bénéfices des aménagements liées à l’eau».
A l’en croire, si le partage des bénéfices n’est pas équitable, il y aura forcément conflits. Et, pour y faire face, la coopération sur l’eau s’impose.
«La GIRE concerne également l’assainissement. Tout ceci se tient. Quand on parle d’eau douce, de comment irriguer d’eau douce pour faire l’agriculture, abreuver des bétails pour la consommation humaine, cela va traverser forcément des zones où on a aménagé pour faire des bouches dégoûts, l’eau usée», tient à souligner le président de l’OVSEO. Mahamadou Baldé d'ajouter qu’ «il y a forcément un recoupement à faire entre l’aménagement pour les eaux qui servent à la consommation et à la production. Mais également le retour de l’eau c’est-à-dire les eaux qui ont déjà servi, qui sont des eaux usées, qui peuvent être recyclées et réinjectées».
Venu représenter le Directeur de la Planification et de Gestion de l’eau, Niokhor Ndour, Boubacar Cissé renseigne que « le Sénégal est choisi comme pays pilote pour conduire la nouvelle stratégie de définition d’indicateurs pour les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD)».