Lors d’un atelier sur la stigmatisation et le déni de la maladie à coronavirus organisé par L’Association des journalistes en Santé, Population et développement (AjSPd) en partenariat avec le Conseil National de Lutte contre le Sida (CNLS), le psychiatre et coordonnateur national de la cellule de soutien psycho-social du ministère de la Santé et de l’Action sociale , Dr Abdou Sy ,a estimé que le déconfinement était impératif et appelle seulement les Sénégalais à respecter les gestes barrières. « On doit savoir que le déconfinement est un processus naturel et normal qui ne pouvait pas manquer. Et dès l’instant qu’il est là, il faut voir que c’est une chose salutaire et voir comment faire pour améliorer ces conditions », a-t-il expliqué à nos confrères du journal Le Témoin.
Il estime que le combat est loin d’être gagné et qu’on devrait continuer à se battre pour stopper le virus. « Le déni de la pandémie par les Sénégalais est compréhensif dans l’ordre naturel de la maladie quand on connait un peu la culture des Sénégalais. Je pense qu’il y a encore un travail à faire pour pouvoir arriver à bout de ce déni et de cette stigmatisation qui constituent des freins dans la prise en charge globale. On est encore dans la pandémie et nous continuons à lutter. A ce sens, nous continuons à prendre en charge pour lutter contre le déni et la stigmatisation », a-t-il dit.
Avant de conclure : « La prise en charge des personnes infectées est très bien jugulée dans la mesure où elle a commencé depuis le début et elle continue à se faire, autant pour les patients qui sont prises en charge à domicile et ceux qui sont dans les centres de traitement. Dans cette nouvelle dynamique, la prise en charge d’engagement communautaire, la cellule est en train de se mouvoir pour entamer des formations au niveau des 45 districts pour pouvoir aller dans le sens d’un engagement communautaire accompagné par la prise en charge ».
Le Témoin
Il estime que le combat est loin d’être gagné et qu’on devrait continuer à se battre pour stopper le virus. « Le déni de la pandémie par les Sénégalais est compréhensif dans l’ordre naturel de la maladie quand on connait un peu la culture des Sénégalais. Je pense qu’il y a encore un travail à faire pour pouvoir arriver à bout de ce déni et de cette stigmatisation qui constituent des freins dans la prise en charge globale. On est encore dans la pandémie et nous continuons à lutter. A ce sens, nous continuons à prendre en charge pour lutter contre le déni et la stigmatisation », a-t-il dit.
Avant de conclure : « La prise en charge des personnes infectées est très bien jugulée dans la mesure où elle a commencé depuis le début et elle continue à se faire, autant pour les patients qui sont prises en charge à domicile et ceux qui sont dans les centres de traitement. Dans cette nouvelle dynamique, la prise en charge d’engagement communautaire, la cellule est en train de se mouvoir pour entamer des formations au niveau des 45 districts pour pouvoir aller dans le sens d’un engagement communautaire accompagné par la prise en charge ».
Le Témoin