Après la révélation du journaliste, Souleymane Jules Diop, dans son émission hebdomadaire, sur un éventuel report des élections de 2012, c’est au leader de Yakaar, Mor Dieng d’emprunter la même voie.
Face à la presse, hier, Mor Dieng a annoncé que l’Alliance Sopi pour Toujours (AST) travaille sur un projet de report du scrutin. Si une telle éventualité s’avérait, elle ne serait pas sans conséquence. «Le Sénégal n’est pas à l’abri d’un soulèvement armé ou d’une révolte si le Pouvoir en place ne se ressaisit pas par rapport à son projet de report de cette échéance électorale», prévient-il avant de faire le procès du régime libéral.
«L’examen minutieux de tous les messages à la Nation du chef de l’Etat entre 2000 et 2010 permet de déceler, entre autres, des manquements très graves qui mettent en doute la crédibilité de Wade dans tous les domaines», juge-t-il.
Sur les manifestations prévues pour demain, Mor Dieng soutient qu’elles sont loin d’être l’onde de choc qui provoquera le mouvement rapide des perturbations sociales qui accéléreront le départ de Wade ou qui mettront notre pays dans une situation d’insurrection. «Le départ de Wade de la présidence à très court terme en février 2012 est réalisable dans la paix comme dans la violence, en fonction du choix qu’il fera avec ses alliés», a fait entendre le chef de file de Yakaar.
Dans son speech, Mor Dieng, n'a pas épargné les leaders de Bennoo qui ont, selon lui, pour dénominateur commun la frustration. Par ailleurs, Mor Dieng dont le parti ne se réclame ni de Bennoo ni de la majorité présidentielle, a déclaré que«Bennoo n'existe que de nom, qu'il n'a pas de programme et n'aura pas un candidat unique pour 2012».
Face à la presse, hier, Mor Dieng a annoncé que l’Alliance Sopi pour Toujours (AST) travaille sur un projet de report du scrutin. Si une telle éventualité s’avérait, elle ne serait pas sans conséquence. «Le Sénégal n’est pas à l’abri d’un soulèvement armé ou d’une révolte si le Pouvoir en place ne se ressaisit pas par rapport à son projet de report de cette échéance électorale», prévient-il avant de faire le procès du régime libéral.
«L’examen minutieux de tous les messages à la Nation du chef de l’Etat entre 2000 et 2010 permet de déceler, entre autres, des manquements très graves qui mettent en doute la crédibilité de Wade dans tous les domaines», juge-t-il.
Sur les manifestations prévues pour demain, Mor Dieng soutient qu’elles sont loin d’être l’onde de choc qui provoquera le mouvement rapide des perturbations sociales qui accéléreront le départ de Wade ou qui mettront notre pays dans une situation d’insurrection. «Le départ de Wade de la présidence à très court terme en février 2012 est réalisable dans la paix comme dans la violence, en fonction du choix qu’il fera avec ses alliés», a fait entendre le chef de file de Yakaar.
Dans son speech, Mor Dieng, n'a pas épargné les leaders de Bennoo qui ont, selon lui, pour dénominateur commun la frustration. Par ailleurs, Mor Dieng dont le parti ne se réclame ni de Bennoo ni de la majorité présidentielle, a déclaré que«Bennoo n'existe que de nom, qu'il n'a pas de programme et n'aura pas un candidat unique pour 2012».