Selon un dirigeant du Mouvement Yen a marre, Simon, «des erreurs ont été commises à dessein sur des personnes. Avec la Tabaski, les gens étaient pris dans les préparatifs ou la fête en tant que tel. Un moment choisi par d’aucun pour commettre des erreurs».
Compte tenu de la confidentialité de la période contentieuse, l’un des dirigeants de Yen a marre s’inquiète déjà sur le succès de leur travail de "Dass fananal". Un plan qui consistait à pousser massivement les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales.
Le responsable des élections de la Coalition Bennoo Siggil Senegal, Ousmane Badiane a presque abondé dans le même sens. "Certes le processus suit son cours, mais il n'y avait pas assez de publicité, car la période coïncidait avec la semaine de la Tabaski. Ce qui n'a pas permis aux populations d'aller consulter le fichier afin de savoir si leur nom y est bien mentionné".
Un point sur lequel, Omar Diallo de la Rencontre africaines des droits de l'homme (Raddho) s'est appesanti pour émettre sur la même longueur d'onde qu’Ousmane Badiane. Pour lui, le processus a suivi son chemin mais il est arrivé à un instant où il a été bâclé. "Les populations n'ont pas été informées du processus de révision. Et des erreurs ont été décelées çà et la" renchérit-il. Un autre point sur lequel il est revenu, c'est le bulletin unique. Pour Omar Diallo, c'est une occasion à ne pas rater. Il a tenu à préciser que "dire que les populations ne connaissent pas le bulletin unique est une insulte". Même son de cloche pour Ousmane Badiane qui se dit "satisfait de l'adoption du bulletin unique". Et d'ajouter qu'il "faut prolonger la date de révision et aller au delà de la procédure".
La mouvance présidentielle par l'intermédiaire de Ababacar Fall se dit "satisfait de la procédure. "D'autant plus que ce sont des experts qui ont donné leur approbation. Et 80% du processus a été déroulé pour une transparence de l'élection présidentielle".
Ces préoccupations sur le manque de publicité autour de la période contentieuse des inscriptions sur les listes électorales ont été recueillies par la RFM lors de leur émission «la parole aux auditeurs» de leur grand journal parlé.
Abdoul Karim Diop (Correspondant dans la banlieue)
Compte tenu de la confidentialité de la période contentieuse, l’un des dirigeants de Yen a marre s’inquiète déjà sur le succès de leur travail de "Dass fananal". Un plan qui consistait à pousser massivement les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales.
Le responsable des élections de la Coalition Bennoo Siggil Senegal, Ousmane Badiane a presque abondé dans le même sens. "Certes le processus suit son cours, mais il n'y avait pas assez de publicité, car la période coïncidait avec la semaine de la Tabaski. Ce qui n'a pas permis aux populations d'aller consulter le fichier afin de savoir si leur nom y est bien mentionné".
Un point sur lequel, Omar Diallo de la Rencontre africaines des droits de l'homme (Raddho) s'est appesanti pour émettre sur la même longueur d'onde qu’Ousmane Badiane. Pour lui, le processus a suivi son chemin mais il est arrivé à un instant où il a été bâclé. "Les populations n'ont pas été informées du processus de révision. Et des erreurs ont été décelées çà et la" renchérit-il. Un autre point sur lequel il est revenu, c'est le bulletin unique. Pour Omar Diallo, c'est une occasion à ne pas rater. Il a tenu à préciser que "dire que les populations ne connaissent pas le bulletin unique est une insulte". Même son de cloche pour Ousmane Badiane qui se dit "satisfait de l'adoption du bulletin unique". Et d'ajouter qu'il "faut prolonger la date de révision et aller au delà de la procédure".
La mouvance présidentielle par l'intermédiaire de Ababacar Fall se dit "satisfait de la procédure. "D'autant plus que ce sont des experts qui ont donné leur approbation. Et 80% du processus a été déroulé pour une transparence de l'élection présidentielle".
Ces préoccupations sur le manque de publicité autour de la période contentieuse des inscriptions sur les listes électorales ont été recueillies par la RFM lors de leur émission «la parole aux auditeurs» de leur grand journal parlé.
Abdoul Karim Diop (Correspondant dans la banlieue)