Au deuxième et dernier niveau de l’hôtel Pefaco, en face de l’aéroport Maya-Maya, des femmes et des hommes sont conviés à la visite de l’exposition « Pagne de campagne, une histoire africaine », après la coupure du ruban par le ministre de la Culture, Léonidas Mottom.
« A droite c’est le président Bongo – là, on l’appelait encore Albert-Bernard Bongo – et ici vous avez le président Sédar Senghor avec son épouse. Voyez ici, c’est le président Houphouët-Boigny, de la Côte d’Ivoire », nous guide cet enseignant universitaire à la retraite. Il explique la place et le rôle du pagne dans la vie des dirigeants africains, depuis les indépendances. « Les pagnes sont immortels et c’est pour cela que je disais tout à l’heure que le meilleur support, c’est le pagne », défend-il.
Chaque visiteur apprécie l’exposition à sa juste valeur. « C’est un plaisir de voir ces pagnes, parce qu’il y a des chefs d’Etat… Je vois là, je ne pensais même pas qu’ils avaient des pagnes. Et puis, nous nous rappelons qu’ils ont été présidents dans tel ou tel pays », découvre cette femme.
C’est la collection Nandjika, créée en 2012 par la modéliste congolaise, Jacinthe Makosso, qui travaille sur la valeur ajoutée au pagne et qui organise cette exposition jusqu’au 28 mai prochain.
« A droite c’est le président Bongo – là, on l’appelait encore Albert-Bernard Bongo – et ici vous avez le président Sédar Senghor avec son épouse. Voyez ici, c’est le président Houphouët-Boigny, de la Côte d’Ivoire », nous guide cet enseignant universitaire à la retraite. Il explique la place et le rôle du pagne dans la vie des dirigeants africains, depuis les indépendances. « Les pagnes sont immortels et c’est pour cela que je disais tout à l’heure que le meilleur support, c’est le pagne », défend-il.
Chaque visiteur apprécie l’exposition à sa juste valeur. « C’est un plaisir de voir ces pagnes, parce qu’il y a des chefs d’Etat… Je vois là, je ne pensais même pas qu’ils avaient des pagnes. Et puis, nous nous rappelons qu’ils ont été présidents dans tel ou tel pays », découvre cette femme.
C’est la collection Nandjika, créée en 2012 par la modéliste congolaise, Jacinthe Makosso, qui travaille sur la valeur ajoutée au pagne et qui organise cette exposition jusqu’au 28 mai prochain.
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