Idrissa Seck aurait du se passer de parler de débat politique national sur la candidature de Me Abdoulaye Wade. En tout cas, le politologue et chroniqueur, Abdoul Aziz Diop, en est convaincu et c'est la raison pour laquelle il ne l’a pas raté ce dimanche au cours de l’émission Remue-ménage de la Rfm à laquelle il participait.
«Idrissa Seck est en retard de 6 ans en matière de débat politique dans ce pays. Depuis qu’il a été limogé en 2004, il a tourné le dos à tout débat contradictoire au pays. Il n’a pas participé aux assises nationales là où se débattait sur le pays par l’effervescence», a asséné le chargé de cours à l’institut supérieur des sciences de l’information et de la communication.
Selon Abdoul Aziz, Idrissa n’a su se saisir quand il a été défenestré du Gouvernement. Il a passé son temps à agir autrement. «Parce qu’il lui a semblé beaucoup plus efficace de manœuvrer auprès de Wade pour, éventuellement, le Pouvoir», a analysé le politologue qui enseigne que «un pouvoir politique ne se ramasse pas en particulier dans un pays comme le nôtre». Et il l’aurait su s’il se rapprochait de Me Wade. «Si Idrissa Seck se renseigne auprès de son mentor, Abdoulaye Wade, ou de son ancien mentor, Abbdoulaye Wade, il lui dira qu’il a mis 26 ans à conquérir le Pouvoir», a rappelé Aziz Diop selon qui, «le Pouvoir se conquiert au terme d’un acte de légitimation et que le débat est en dernier ressort tranché par le peuple en vertu de sa souveraineté».
Abdoul Aziz Diop renseigne qu’Idrissa ne veut pas entendre parler de cela. C’est pourquoi il préfère manœuvrer. Une démarche qui amène le politologue à affirmer «qu’en réalité, Idrissa Seck est un pétard mouillé».
C’est d’ailleurs dans ce sens qu’il reste persuadé que «le débat (report des élections) auquel il fait appel est un débat auquel il ne croit pas parce qu’il le tranche avant de l’avoir suscité. «Il dit qu’il faut donner éventuellement deux ans au Président Abdoulaye Wade pour qu’en 2014, il s’en aille».
Pour lui, il n’est pas question de suivre Idrissa dans son raisonnement. «Pourquoi on devrait suivre Idrissa Seck quand d’éminents juristes et constitutionnalistes (les Professeurs El Hadj Mbodj, Hamèt Ndiaye, Babacar Guèye…) s’accordent pour dire que Wade a fini ses cartouches, au point de participer à un prétendu débat national.
«Idrissa Seck est en retard de 6 ans en matière de débat politique dans ce pays. Depuis qu’il a été limogé en 2004, il a tourné le dos à tout débat contradictoire au pays. Il n’a pas participé aux assises nationales là où se débattait sur le pays par l’effervescence», a asséné le chargé de cours à l’institut supérieur des sciences de l’information et de la communication.
Selon Abdoul Aziz, Idrissa n’a su se saisir quand il a été défenestré du Gouvernement. Il a passé son temps à agir autrement. «Parce qu’il lui a semblé beaucoup plus efficace de manœuvrer auprès de Wade pour, éventuellement, le Pouvoir», a analysé le politologue qui enseigne que «un pouvoir politique ne se ramasse pas en particulier dans un pays comme le nôtre». Et il l’aurait su s’il se rapprochait de Me Wade. «Si Idrissa Seck se renseigne auprès de son mentor, Abdoulaye Wade, ou de son ancien mentor, Abbdoulaye Wade, il lui dira qu’il a mis 26 ans à conquérir le Pouvoir», a rappelé Aziz Diop selon qui, «le Pouvoir se conquiert au terme d’un acte de légitimation et que le débat est en dernier ressort tranché par le peuple en vertu de sa souveraineté».
Abdoul Aziz Diop renseigne qu’Idrissa ne veut pas entendre parler de cela. C’est pourquoi il préfère manœuvrer. Une démarche qui amène le politologue à affirmer «qu’en réalité, Idrissa Seck est un pétard mouillé».
C’est d’ailleurs dans ce sens qu’il reste persuadé que «le débat (report des élections) auquel il fait appel est un débat auquel il ne croit pas parce qu’il le tranche avant de l’avoir suscité. «Il dit qu’il faut donner éventuellement deux ans au Président Abdoulaye Wade pour qu’en 2014, il s’en aille».
Pour lui, il n’est pas question de suivre Idrissa dans son raisonnement. «Pourquoi on devrait suivre Idrissa Seck quand d’éminents juristes et constitutionnalistes (les Professeurs El Hadj Mbodj, Hamèt Ndiaye, Babacar Guèye…) s’accordent pour dire que Wade a fini ses cartouches, au point de participer à un prétendu débat national.