Les enquêtes des commissions rogatoires apportent de nouvelles révélations dans le cadre de la traque des biens mal acquis qui enfoncent Karim, le fils de l’ancien président Wade qui a mis en place une véritable stratégie pour planquer ses avoirs.
Il s’agit de nouveaux documents découverts dans les banques étrangères par ces dernières commissions qui font état de la manière dont le poursuivi pour enrichissement illicite à hauteur de 694 milliards a failli réussir le hold up du siècle ni vu no connu.
Alors ministre de son père président de la République du Sénégal, Karim le 9 juillet 2003 donne comme adresse le Flat 58, Ground Floor, Radcliffe Sq, Sw 10 9 B, à Londres en Angleterre pour ouvrir un compte anonyme à la banque Julius Bär de la principauté de Monaco où il s’est par ailleurs présenté comme « un expert en investissement ayant cinq (5) ans d’expérience dans le domaine » avec « un patrimoine on shore et off shore » en termes plus clairs «une partie licite et déclaré » et « une partie non déclarée » et « 40 % de ses avoirs globaux investis en placements immobiliers » dévoilent les enquêteurs de la CREI qui ne manquent de préciser que sur ce compte à Julius Bär, « a plus fonctionné comme un compte de placements à terme très courts de un (1) à trois (3) mois qui affichait deux (2) millions d’euros soit 1 milliard 300 millions de F CFA lors de la réquisition » sur les colonnes du journal « le quotidien ».
Il s’agit de nouveaux documents découverts dans les banques étrangères par ces dernières commissions qui font état de la manière dont le poursuivi pour enrichissement illicite à hauteur de 694 milliards a failli réussir le hold up du siècle ni vu no connu.
Alors ministre de son père président de la République du Sénégal, Karim le 9 juillet 2003 donne comme adresse le Flat 58, Ground Floor, Radcliffe Sq, Sw 10 9 B, à Londres en Angleterre pour ouvrir un compte anonyme à la banque Julius Bär de la principauté de Monaco où il s’est par ailleurs présenté comme « un expert en investissement ayant cinq (5) ans d’expérience dans le domaine » avec « un patrimoine on shore et off shore » en termes plus clairs «une partie licite et déclaré » et « une partie non déclarée » et « 40 % de ses avoirs globaux investis en placements immobiliers » dévoilent les enquêteurs de la CREI qui ne manquent de préciser que sur ce compte à Julius Bär, « a plus fonctionné comme un compte de placements à terme très courts de un (1) à trois (3) mois qui affichait deux (2) millions d’euros soit 1 milliard 300 millions de F CFA lors de la réquisition » sur les colonnes du journal « le quotidien ».