Le président de la République a fait allusion aux attaques de plusieurs candidats à la présidentielle, dont Valérie Pécresse et Michel Barnier à droite.
Emmanuel Macron a condamné lundi les remises en cause du droit européen, «vieille maladie française», en allusion aux attaques en ce sens de plusieurs candidats à la présidentielle pour 2022 dont Valérie Pécresse et Michel Barnier à droite.
«Je suis étonné pour rester pudique, de voir que dès qu'il y a un problème nous en revenons à cette vieille maladie française qui consiste à dire : c'est l'Europe», des textes «signés, puis ratifiés souverainement». «Qu'est-ce que c'est que cette affaire ? Il nous faut donc les défendre», a-t-il lancé en ouvrant les États généraux de la justice.
Emmanuel Macron a condamné lundi les remises en cause du droit européen, «vieille maladie française», en allusion aux attaques en ce sens de plusieurs candidats à la présidentielle pour 2022 dont Valérie Pécresse et Michel Barnier à droite.
«Je suis étonné pour rester pudique, de voir que dès qu'il y a un problème nous en revenons à cette vieille maladie française qui consiste à dire : c'est l'Europe», des textes «signés, puis ratifiés souverainement». «Qu'est-ce que c'est que cette affaire ? Il nous faut donc les défendre», a-t-il lancé en ouvrant les États généraux de la justice.