C’est ce matin à Dakar que l’Usaid a procédé au lancement de son projet « éducation priorité qualité », (Epq), en présence du ministre de l’éducation Kalidou Diallo. Ce nouveau programme s’étend sur quatre ans et concerne la période 2010-2014 et est porté par un budget estimé à 20 millions de dollars Us. Cet accord de coopération entre les Etats du Sénégal et des Usa vient renforcer les rapports entretenus jusque là par les deux pays dans le domaine de l’éducation.
En effet, après le projet Paem concernant la construction de Cem à travers le pays et le programme éducation de base (Usaid/Edb), voilà qu’arrive l’Epq. Le but de ce dernier est de fournir une éducation de qualité à l’enseignement sénégalais. Pour se faire, le projet s’appuie sur quatre composantes. Lesquels demeurent le développement intégral du collège, la formation des enseignants, l’enseignement du français et des mathématiques et enfin l’employabilité des jeunes. Ainsi, sont pris en compte tous les facteurs qui semblent contribuer à l'amélioration du niveau des élèves.
A travers ces quatre composantes sont visés la revitalisation et la régionalisation de la formation ainsi que le développement des enseignants. Aussi, la création d’un environnement favorable pour le développement intégral du collège, le renforcement les aptitudes de base des élèves en français et en mathématique et la mobilisation des jeunes et la création des opportunités d’emploi, sont aussi escomptés.
Les régions de Kédougou, Ziguinchor, Fatick, Kolda, Sédhiou, Tambacounda sont les bénéficiaires du programme avec Diourbel et Kaolack qui intègrent le groupe à l’an trois du projet. L’on remarque que le nord du Sénégal n’est pas pris en compte. Sacha Fraiture, chargé de l’enseignement à l’Usaid explique, « nous avons d’autres projet comme l’Edb qui interviennent dans le nord du pays et comme les finances faisaient défaut l’on a décidé avec le ministère de l’éducation de concentrer le projet dans la zone sud du pays ». Ce qui entre en parfaite cohésion comme l’a rappelé le ministre de l’éducation, Kalidou Diallo, avec le Pdef.
Un projet qui vient à son heure avec un taux de réussite à l’entrée en sixième sans précédent. Les élèves vont se retrouver à l’étroit en classe. Ce qui pousse le directeur de l’Usaid Kevin Mullally à dire que « ce projet intervient à un moment crucial avec la forte pression crée à la fois sur les capacités d’accueil et sur l’environnement des apprentissages appelant ainsi des réajustements au niveau des facteurs déterminant la qualité ».
En effet, après le projet Paem concernant la construction de Cem à travers le pays et le programme éducation de base (Usaid/Edb), voilà qu’arrive l’Epq. Le but de ce dernier est de fournir une éducation de qualité à l’enseignement sénégalais. Pour se faire, le projet s’appuie sur quatre composantes. Lesquels demeurent le développement intégral du collège, la formation des enseignants, l’enseignement du français et des mathématiques et enfin l’employabilité des jeunes. Ainsi, sont pris en compte tous les facteurs qui semblent contribuer à l'amélioration du niveau des élèves.
A travers ces quatre composantes sont visés la revitalisation et la régionalisation de la formation ainsi que le développement des enseignants. Aussi, la création d’un environnement favorable pour le développement intégral du collège, le renforcement les aptitudes de base des élèves en français et en mathématique et la mobilisation des jeunes et la création des opportunités d’emploi, sont aussi escomptés.
Les régions de Kédougou, Ziguinchor, Fatick, Kolda, Sédhiou, Tambacounda sont les bénéficiaires du programme avec Diourbel et Kaolack qui intègrent le groupe à l’an trois du projet. L’on remarque que le nord du Sénégal n’est pas pris en compte. Sacha Fraiture, chargé de l’enseignement à l’Usaid explique, « nous avons d’autres projet comme l’Edb qui interviennent dans le nord du pays et comme les finances faisaient défaut l’on a décidé avec le ministère de l’éducation de concentrer le projet dans la zone sud du pays ». Ce qui entre en parfaite cohésion comme l’a rappelé le ministre de l’éducation, Kalidou Diallo, avec le Pdef.
Un projet qui vient à son heure avec un taux de réussite à l’entrée en sixième sans précédent. Les élèves vont se retrouver à l’étroit en classe. Ce qui pousse le directeur de l’Usaid Kevin Mullally à dire que « ce projet intervient à un moment crucial avec la forte pression crée à la fois sur les capacités d’accueil et sur l’environnement des apprentissages appelant ainsi des réajustements au niveau des facteurs déterminant la qualité ».