Le président guinéen, Alpha Condé. AFP PHOTO KENZO TRIBOUILLARD
Au milieu du catalogue de promesses mirifiques, étalées par les candidats, il existe un mythe bien ancré dans l’esprit des citoyens : une fois passées les législatives, les investisseurs étrangers viendront en Guinée. C’est l’avis de l’homme de la rue.
Le parti au pouvoir a utilisé ce mythe pour convaincre les citoyens de dépasser les querelles de fichier électoral et d’aller enfin aux urnes. Et les partis politiques se sont servis du même mythe pour cacher la faiblesse du débat d’idées. Aliou Barry, le président de l’Observatoire national de la démocratie et des droits de l’homme estime que la classe politique fait fausse route.
Certes, la stabilité politique et institutionnelle est une condition nécessaire. Mais pour attirer les entreprises, il faut davantage, selon ce commerçant.
Depuis plusieurs années la Guinée travaille à rendre le pays plus attractif pour les investisseurs, mais entre ce travail de fond et les premiers résultats, il y a un temps forcément trop long qui n’est pas celui d’une campagne électorale.
Source : Rfi.fr
Le parti au pouvoir a utilisé ce mythe pour convaincre les citoyens de dépasser les querelles de fichier électoral et d’aller enfin aux urnes. Et les partis politiques se sont servis du même mythe pour cacher la faiblesse du débat d’idées. Aliou Barry, le président de l’Observatoire national de la démocratie et des droits de l’homme estime que la classe politique fait fausse route.
Certes, la stabilité politique et institutionnelle est une condition nécessaire. Mais pour attirer les entreprises, il faut davantage, selon ce commerçant.
Depuis plusieurs années la Guinée travaille à rendre le pays plus attractif pour les investisseurs, mais entre ce travail de fond et les premiers résultats, il y a un temps forcément trop long qui n’est pas celui d’une campagne électorale.
Source : Rfi.fr