Les cardinaux se sont réunis en prière mercredi après-midi au palais apostolique du Vatican, peu avant de s'enfermer dans la chapelle Sixtine pour un conclave chargé d'élire, dans le plus grand secret, le successeur du pape François.
Plus de deux semaines après la mort de Jorge Bergoglio, les 133 cardinaux électeurs venant de 70 pays – un record – ont lancé ce cérémonial extrêmement codifié, suivi avec attention par quelque 1,4 milliard de catholiques et des milliers de journalistes du monde entier.
Peu après 16h (14h TU), ils se sont retrouvés pour une prière dans la chapelle Pauline, distante de quelques mètres de la chapelle Sixtine. La main posée sur la Bible, ils ont juré de ne rien révéler des échanges – sous peine d'excommunication – avant de s'enfermer face à la fresque majestueuse et intimidante du Jugement dernier de Michel-Ange.
Après avoir récité ensemble la formule rituelle en latin sous la présidence du cardinal italien Pietro Parolin, les « princes de l'Église » se sont avancés un par un vers l'autel pour prêter serment, la main posée sur l'Évangile.
Plus de deux semaines après la mort de Jorge Bergoglio, les 133 cardinaux électeurs venant de 70 pays – un record – ont lancé ce cérémonial extrêmement codifié, suivi avec attention par quelque 1,4 milliard de catholiques et des milliers de journalistes du monde entier.
Peu après 16h (14h TU), ils se sont retrouvés pour une prière dans la chapelle Pauline, distante de quelques mètres de la chapelle Sixtine. La main posée sur la Bible, ils ont juré de ne rien révéler des échanges – sous peine d'excommunication – avant de s'enfermer face à la fresque majestueuse et intimidante du Jugement dernier de Michel-Ange.
Après avoir récité ensemble la formule rituelle en latin sous la présidence du cardinal italien Pietro Parolin, les « princes de l'Église » se sont avancés un par un vers l'autel pour prêter serment, la main posée sur l'Évangile.