Remerciés du groupe D-medias, les journalistes et techniciens qui animaient le journal "La Tribune" ont organisé une conférence de presse ce vendredi dans les locaux du Synpics pour apporter des clarifications concernant le contentieux qui leur oppose au patron du groupe D-media Bougane Gueye.
Cheikh Anta Seck, qui a présidé la conférence de presse et ses collègues concernés par le limogeage réclament leurs salaires de juillet au Dg de D-media. Car défendent-ils «nous avons travaillé du 1er au 26 du mois de juillet et jusque-là, nous n’avons pas perçu nos salaires ». Selon eux, Bougane Gueye veut trainer le dossier devant la justice avant de les payer.
Le porte-parole du jour a, par ailleurs, salué : «l’échec de la tentative de musellement de la section syndicale », après que Bougane ait opéré un envoi en chômage technique les employés de "La Tribune", sans respecter la législation du travail. Ajoute-t-il.
Le journaliste a révélé que « l’Inspection du travail a signifié à D-media la violation des dispositions du Code du travail en parlant de tacite reconduction en ce qui concerne l’engagement à l’essai ».
Dans le même sillage, Cheikh Anta Seck est revenu sur les considérations de l'inspection du travail suite aux sollicitations de Bougane Guèye Dany. "Il a essayé de solliciter la clémence de l’Inspection du travail en évoquant le recouvrement de 50 millions dans le procès de diffamation. Le PDG de DMedia a, toutefois, reconnu, selon le jeune journaliste, qu’il n’a pas respecté la procédure en vigueur pour envoyer des agents en chômage technique».
Cependant, Cheikh Anta dénonce le mutisme du ministère de la Communication qu'il considère comme « un silence coupable ».
Cheikh Anta Seck, qui a présidé la conférence de presse et ses collègues concernés par le limogeage réclament leurs salaires de juillet au Dg de D-media. Car défendent-ils «nous avons travaillé du 1er au 26 du mois de juillet et jusque-là, nous n’avons pas perçu nos salaires ». Selon eux, Bougane Gueye veut trainer le dossier devant la justice avant de les payer.
Le porte-parole du jour a, par ailleurs, salué : «l’échec de la tentative de musellement de la section syndicale », après que Bougane ait opéré un envoi en chômage technique les employés de "La Tribune", sans respecter la législation du travail. Ajoute-t-il.
Le journaliste a révélé que « l’Inspection du travail a signifié à D-media la violation des dispositions du Code du travail en parlant de tacite reconduction en ce qui concerne l’engagement à l’essai ».
Dans le même sillage, Cheikh Anta Seck est revenu sur les considérations de l'inspection du travail suite aux sollicitations de Bougane Guèye Dany. "Il a essayé de solliciter la clémence de l’Inspection du travail en évoquant le recouvrement de 50 millions dans le procès de diffamation. Le PDG de DMedia a, toutefois, reconnu, selon le jeune journaliste, qu’il n’a pas respecté la procédure en vigueur pour envoyer des agents en chômage technique».
Cependant, Cheikh Anta dénonce le mutisme du ministère de la Communication qu'il considère comme « un silence coupable ».