Les ex-travailleurs du quotidien Direct-Info interpellent l’homme d’affaires Cheikh Amar pour le paiement de leurs arriérés de salaires dus depuis 2019. Dans un communiqué transmis à PressAfrik, ils rappellent que leur dernière rencontre avec le propriétaire du journal remonte à 2021, à son domicile des Almadies.
Selon eux, Cheikh Amar, en tant que propriétaire de Direct-Info leur avait donné l’assurance après le limogeage du Directeur Général de l’époque M. Pape Diogoye Faye, qu’il va reprendre le journal en main et payer ce que Direct-Info doit aux employés qui avaient engagé la lutte jusqu'au départ du Directeur Général de l'époque. Des engagements qui, regrettent-ils, n’ont jamais été respectés malgré de multiples relances.
Les ex-travailleurs expliquent également avoir baissé les armes suite à l’accident de M. Cheikh Amar sur l’autoroute Illa- Touba. « Comme M. Amar était blessé durant l’accident, la section SYNPICS de Direct-Info avait décidé de surseoir sa lutte syndicale pour des raisons humanitaires », affirment-t-ils.
Selon eux, cela fait maintenant des années que « Cheikh Amar refuse de rencontrer les travailleurs encore moins de répondre à leurs sollicitations ». Ils soulignent qu’après le limogeage du directeur général de Direct-Info, M. Amar était en contact permanent avec les travailleurs par l’entremise du secrétaire général de la section SYNPICS de Direct-Info.
« Aujourd’hui, les ex-travailleurs traversent une situation difficile qui les plonge dans une précarité extrême. Certains d’entre eux sont expulsés de leur logement par leur bailleur, d’autres ne parviennent plus à se soigner, une fois qu’ils tombent malade », déplorent-ils.
Les ex-travailleurs dénoncent le contraste entre leur précarité et les apparitions publiques de Cheikh Amar qui affiche une santé financière. Ils exigent ainsi le règlement immédiat de leurs dus et rappellent que deux de leurs camarades, licenciés abusivement en 2015, disposent de décisions de justice toujours inexécutées.
Selon eux, Cheikh Amar, en tant que propriétaire de Direct-Info leur avait donné l’assurance après le limogeage du Directeur Général de l’époque M. Pape Diogoye Faye, qu’il va reprendre le journal en main et payer ce que Direct-Info doit aux employés qui avaient engagé la lutte jusqu'au départ du Directeur Général de l'époque. Des engagements qui, regrettent-ils, n’ont jamais été respectés malgré de multiples relances.
Les ex-travailleurs expliquent également avoir baissé les armes suite à l’accident de M. Cheikh Amar sur l’autoroute Illa- Touba. « Comme M. Amar était blessé durant l’accident, la section SYNPICS de Direct-Info avait décidé de surseoir sa lutte syndicale pour des raisons humanitaires », affirment-t-ils.
Selon eux, cela fait maintenant des années que « Cheikh Amar refuse de rencontrer les travailleurs encore moins de répondre à leurs sollicitations ». Ils soulignent qu’après le limogeage du directeur général de Direct-Info, M. Amar était en contact permanent avec les travailleurs par l’entremise du secrétaire général de la section SYNPICS de Direct-Info.
« Aujourd’hui, les ex-travailleurs traversent une situation difficile qui les plonge dans une précarité extrême. Certains d’entre eux sont expulsés de leur logement par leur bailleur, d’autres ne parviennent plus à se soigner, une fois qu’ils tombent malade », déplorent-ils.
Les ex-travailleurs dénoncent le contraste entre leur précarité et les apparitions publiques de Cheikh Amar qui affiche une santé financière. Ils exigent ainsi le règlement immédiat de leurs dus et rappellent que deux de leurs camarades, licenciés abusivement en 2015, disposent de décisions de justice toujours inexécutées.