C’est lors du symposium organisé ce mardi par plateforme de veille des femmes pour la paix «ËTU JAMM» que ces dernières ont appelé pour des élections législatives apaisées. En effet, sous la houlette de Binta Diop, la présidente d’honneur de ladite plateforme elles ont décliné leur doléances envers les protagonistes devant participer aux joutes électorales du 30 juillet prochain, à se retenir pour ne pas exposer le Sénégal à des violences.
Dans cette optique, Mme Diop, par ailleurs Envoyée spéciale de la Commission de l’Union africaine sur les questions de «femmes, paix et sécurité» a informé que, dans le cadre de la «Caravane de la paix» lacée depuis le 5 juillet dernier, de grandes villes du Sénégal ont été sillonnées parmi lesquelles Thiès, Kaolack, Fatick et Diourbel, en attendant de se rendre dans les autres localités du pays.
La plateforme regroupe en son sein, près de 50 organisations de femmes qui, affirme leur présidente, au vu des risques que font courir les hommes politiques aux jeunes ainsi qu’aux femmes en cette période veulent sensibiliser cette couche vulnérable de la société afin d’éviter de se faire manipuler pour de mauvaises raisons. D’ailleurs, rappelle-t-elle, elles ont déjà rencontré des chefs religieux qui ont adhéré à leur démarche.
Sur un autre registre, les membres de la plateforme réclament une plus grande autonomie financière. Prenant les devants, Penda Diouf Seck, la présidente du réseau des femmes rurales, a appelé ses «sœurs» à mettre sur pied «une femme 100 francs » afin de se prendre en charge elles-mêmes, en attendant l’apport de l'Etat et de bonnes volontés.
Dans cette optique, Mme Diop, par ailleurs Envoyée spéciale de la Commission de l’Union africaine sur les questions de «femmes, paix et sécurité» a informé que, dans le cadre de la «Caravane de la paix» lacée depuis le 5 juillet dernier, de grandes villes du Sénégal ont été sillonnées parmi lesquelles Thiès, Kaolack, Fatick et Diourbel, en attendant de se rendre dans les autres localités du pays.
La plateforme regroupe en son sein, près de 50 organisations de femmes qui, affirme leur présidente, au vu des risques que font courir les hommes politiques aux jeunes ainsi qu’aux femmes en cette période veulent sensibiliser cette couche vulnérable de la société afin d’éviter de se faire manipuler pour de mauvaises raisons. D’ailleurs, rappelle-t-elle, elles ont déjà rencontré des chefs religieux qui ont adhéré à leur démarche.
Sur un autre registre, les membres de la plateforme réclament une plus grande autonomie financière. Prenant les devants, Penda Diouf Seck, la présidente du réseau des femmes rurales, a appelé ses «sœurs» à mettre sur pied «une femme 100 francs » afin de se prendre en charge elles-mêmes, en attendant l’apport de l'Etat et de bonnes volontés.