Certains pourraient croire que le Oui ou le Non au référendum est le déclencheur du combat entre les frères socialistes. Mais cette bataille a été déclenchée depuis le départ d’Abdou Diouf de la tête de la formation de Léopold Sédar Senghor.
Mais, la bataille a atteint une autre tournure avec la défaite à l’issue des élections présidentielles de 2007. Ces élections qui ont vu Ousmane Tanor Dieng et son parti chuter sensiblement, ont été le moment pour certains socialistes de se poser la question à savoir si le maire Ndiéniène était l’homme de la situation.
S’en est suivi le combat pour le Secrétariat général national du Ps. Ce rendez-vous a été pour certains le moment où ils ont pris conscience qu’Ousmane Tanor Dieng n’était pas indéboulonnable. Car, Aïssata Tall Sall avait «osé » défier M. Dieng qui était alors Premier secrétaire du Ps. Mais, Khalifa Sall, aussi a vu sa notoriété se rehausser, du fait que certains de ses frères de parti avait agité sa candidature. Ce qu’il a refusé préférant rester à l’écart entre le face à face entre Aïssata Tall Sall et Ousmane Tanor Dieng.
Cette confrontation gagnée par Ousmane Tanor Dieng a permis de taire, un tant soit peu les divergences. Divergences qui éclateront après la défaite de 2012. Défaite imputée à Ousmane Tanor Dieng, car les suffrages obtenus par la formation socialiste ont été en deçà de ceux escomptés.
Mais ces péripéties n’ont eu pour effet que de permettre à l’édile de Dakar d’asseoir auprès de ses jeunes camarades socialistes une certaine notoriété. En effet, certains ont commencé à voir en lui l’homme de la situation. Les élections locales de 2014 n’ont fait que les renforcer dans cette croyance car, Khalifa Ababacar Sall, malgré la désapprobation de son parti qui avait préféré les listes de la coalition Benno Bokk Yaakaar au détriment des siennes, M. Sall avait remporté, haut la main, la bataille de la capitale.
C’est ce qui lui a permis de d’ouvrir publiquement les hostilités, avec ses prises de position qui se démarquent de celles adoptées par son parti, notamment sur l’acte III de la Décentralisation, la loi modifiant le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, et actuellement, la question du référendum sur laquelle, alors que son parti a voté Oui, lui, attend le lendemain de cette décision pour faire sortir un communiqué dans lequel il fait savoir qu’il votera Non. Position qu’il partage avec le maire de Podor, Aïssata Tall Sall.
Mais, la bataille a atteint une autre tournure avec la défaite à l’issue des élections présidentielles de 2007. Ces élections qui ont vu Ousmane Tanor Dieng et son parti chuter sensiblement, ont été le moment pour certains socialistes de se poser la question à savoir si le maire Ndiéniène était l’homme de la situation.
S’en est suivi le combat pour le Secrétariat général national du Ps. Ce rendez-vous a été pour certains le moment où ils ont pris conscience qu’Ousmane Tanor Dieng n’était pas indéboulonnable. Car, Aïssata Tall Sall avait «osé » défier M. Dieng qui était alors Premier secrétaire du Ps. Mais, Khalifa Sall, aussi a vu sa notoriété se rehausser, du fait que certains de ses frères de parti avait agité sa candidature. Ce qu’il a refusé préférant rester à l’écart entre le face à face entre Aïssata Tall Sall et Ousmane Tanor Dieng.
Cette confrontation gagnée par Ousmane Tanor Dieng a permis de taire, un tant soit peu les divergences. Divergences qui éclateront après la défaite de 2012. Défaite imputée à Ousmane Tanor Dieng, car les suffrages obtenus par la formation socialiste ont été en deçà de ceux escomptés.
Mais ces péripéties n’ont eu pour effet que de permettre à l’édile de Dakar d’asseoir auprès de ses jeunes camarades socialistes une certaine notoriété. En effet, certains ont commencé à voir en lui l’homme de la situation. Les élections locales de 2014 n’ont fait que les renforcer dans cette croyance car, Khalifa Ababacar Sall, malgré la désapprobation de son parti qui avait préféré les listes de la coalition Benno Bokk Yaakaar au détriment des siennes, M. Sall avait remporté, haut la main, la bataille de la capitale.
C’est ce qui lui a permis de d’ouvrir publiquement les hostilités, avec ses prises de position qui se démarquent de celles adoptées par son parti, notamment sur l’acte III de la Décentralisation, la loi modifiant le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, et actuellement, la question du référendum sur laquelle, alors que son parti a voté Oui, lui, attend le lendemain de cette décision pour faire sortir un communiqué dans lequel il fait savoir qu’il votera Non. Position qu’il partage avec le maire de Podor, Aïssata Tall Sall.