La communauté internationale est « prête à répondre aux demandes du gouvernement libyen en vue d’entraîner et d’équiper la garde présidentielle et les forces autorisées », dit un communiqué signé par les cinq membres du Conseil de sécurité (la France, les Etats-Unis, la Russie, le Royaume-Uni et la Chine) et par une quinzaine d’autres Etats participant aux discussions.
Pas d’intervention militaire étrangère
Le communiqué final précise que la communauté internationale « soutiendra totalement les efforts » du nouvel exécutif libyen, qui va demander à être exempté de l’embargo de l’ONU sur les ventes d’armes à la Libye afin de combattre l’organisation Etat islamique (EI) et d’autres groupes terroristes sévissant dans le pays. Cet embargo, imposé au début de la révolte contre le régime de Mouammar Kadhafi, en 2011, sera toutefois maintenu et même renforcé pour les factions rivales au gouvernement de Tripoli, ont assuré les participants à la réunion de Vienne.
Le chef de la diplomatie américaine, John Kerry, et son homologue italien, Paolo Gentiloni, ont également soutenu que la communauté internationale n’avait pas l’intention d’intervenir militairement en Libye.
La conférence de Vienne, qui réunit les principaux acteurs régionaux et internationaux, se tient à un moment décisif pour la Libye, où l’organisation Etat islamique a récemment étendu son influence à l’ouest de la ville de Syrte, qu’elle contrôle depuis juin 2015. Le gouvernement d’union nationale, dirigé par Fayez Al-Sarraj, peine à asseoir son autorité, plus d’un mois et demi après avoir pris ses fonctions à Tripoli.
Source:LeMonde.fr
Pas d’intervention militaire étrangère
Le communiqué final précise que la communauté internationale « soutiendra totalement les efforts » du nouvel exécutif libyen, qui va demander à être exempté de l’embargo de l’ONU sur les ventes d’armes à la Libye afin de combattre l’organisation Etat islamique (EI) et d’autres groupes terroristes sévissant dans le pays. Cet embargo, imposé au début de la révolte contre le régime de Mouammar Kadhafi, en 2011, sera toutefois maintenu et même renforcé pour les factions rivales au gouvernement de Tripoli, ont assuré les participants à la réunion de Vienne.
Le chef de la diplomatie américaine, John Kerry, et son homologue italien, Paolo Gentiloni, ont également soutenu que la communauté internationale n’avait pas l’intention d’intervenir militairement en Libye.
La conférence de Vienne, qui réunit les principaux acteurs régionaux et internationaux, se tient à un moment décisif pour la Libye, où l’organisation Etat islamique a récemment étendu son influence à l’ouest de la ville de Syrte, qu’elle contrôle depuis juin 2015. Le gouvernement d’union nationale, dirigé par Fayez Al-Sarraj, peine à asseoir son autorité, plus d’un mois et demi après avoir pris ses fonctions à Tripoli.
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