Les malades mentaux ne tiennent pas à s’apitoyer sur leur sort. En cette journée du 10 octobre qui leur est dédiée partout à travers le monde, ceux du Sénégal en ont profité pour revendiquer leur place dans la société.
C’est le cas de Bassirou Kébé, malade mental qui se fait suivre au centre de réinsertion de Tobor dans le département de Bignona. : «Les malades mentaux font partie de la société. Nul ne peut se glorifier d’y avoir échappé car cette maladie peut frapper tout le monde et à tout moment», martèle-t-il.
Ils sont plus de 100 dans ce centre et chacun d’entre eux lutte farouchement pour se sortir de cette situation. Mais, conscients qu’ils ne peuvent le faire seuls, ils ont lancé un cri du cœur à leurs parents, mais aussi à toute personne douée ne serait que d'une toute petite parcelle d’humanisme.
Car, lancent-ils, «le fardeau » dont ils souffrent ne doit pas être un prétexte pour les marginaliser puisque, revendiquent-ils, ils font partie intégrante de la société.
C’est le cas de Bassirou Kébé, malade mental qui se fait suivre au centre de réinsertion de Tobor dans le département de Bignona. : «Les malades mentaux font partie de la société. Nul ne peut se glorifier d’y avoir échappé car cette maladie peut frapper tout le monde et à tout moment», martèle-t-il.
Ils sont plus de 100 dans ce centre et chacun d’entre eux lutte farouchement pour se sortir de cette situation. Mais, conscients qu’ils ne peuvent le faire seuls, ils ont lancé un cri du cœur à leurs parents, mais aussi à toute personne douée ne serait que d'une toute petite parcelle d’humanisme.
Car, lancent-ils, «le fardeau » dont ils souffrent ne doit pas être un prétexte pour les marginaliser puisque, revendiquent-ils, ils font partie intégrante de la société.