L’accusé Matar Diokhané a révélé devant la barre de la chambre criminelle de Dakar que les chefs de Boko-Haram lui vouaient un respect total. Ce qui expliquait, affirme le présumé terroriste qu'il y a des mois où, son salaire lui était remis par deux hommes. Il arrivait que d’Aboubacry Sheikau se déplace uniquement pour lui.
Concernant son implication pour régler la situation des Sénégalais qui étaient dans le fief de Boko Haram, M. Diokhané rétorque que c'est uniquement son désir de venir en aide à ses compatriotes dans le besoin qui l'ont motivé, d'autant plus qu'il occupait une position privilégiée.
«J’avais une grande école là-bas. Un jour quelqu’un est venu à Andak pour me dire que les Sénégalais qui étaient à Sambissa avaient des divergences avec Aboubacry Sheikau. Quand je suis venu, j’ai rencontré les Sénégalais qui étaient là-bas. Sheikau pensait que quiconque qui avait une carte d’identité était susceptible de sortir de la religion », a déclaré l’accusé Matar Diokhané devant la barre.
Concernant son implication pour régler la situation des Sénégalais qui étaient dans le fief de Boko Haram, M. Diokhané rétorque que c'est uniquement son désir de venir en aide à ses compatriotes dans le besoin qui l'ont motivé, d'autant plus qu'il occupait une position privilégiée.
«J’avais une grande école là-bas. Un jour quelqu’un est venu à Andak pour me dire que les Sénégalais qui étaient à Sambissa avaient des divergences avec Aboubacry Sheikau. Quand je suis venu, j’ai rencontré les Sénégalais qui étaient là-bas. Sheikau pensait que quiconque qui avait une carte d’identité était susceptible de sortir de la religion », a déclaré l’accusé Matar Diokhané devant la barre.