Les secrets sur l’arme du crime et les circonstances de la mort de Ndiaga Diouf



L’autopsie du corps de Ndiaga Diouf a révélé ses secrets. Le médecin légiste requis pour les besoins de l’enquête a livré ses conclusions aux limiers. Elles ont révélé que «la balle qui a été fatale à Ndiaga Diouf est de calibre 9mm. Elle aurait été tirée d’une arme à feu de marque «Taurus», un pistolet de fabrication brésilienne».

Ce type d’arme est fabriqué par la Forjas Taurus SA, une société installée à Porto Alegre (Brésil). Le pistolet Taurus 24/7, qui existe en plusieurs modèles, est un semi-automatique très performant.

Selon des sources hospitalières interrogées par nos confrères de «l’Observateur», le médecin légiste a également explicité la trajectoire prise par la balle en question. «Il ressort de l’autopsie que la victime Ndiaga Diouf a été atteinte au dos, précisément à hauteur des reins. La balle, entrée par les reins, a pris une trajectoire ascendante dans le sens de la région du cœur», a-t-on indiqué. Ces mêmes sources de préciser que «cela signifierait que la victime n’était pas debout au moment où elle a reçu la balle». Les experts de souligner : «soit Ndiaga Diouf devait être en fuite, soit il était presque couché en recevant la balle».


Mardi 27 Décembre 2011 11:51


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