Les chefs religieux sont intervenus pour sauver l’école de justesse. Néanmoins, ce sauvetage pourrait n’être que temporaire. Car, à en juger les propos du Coordonnateur du Grand cadre, Mamadou Lamine Dianté, par ailleurs, secrétaire général du Cusems, la balle est désormais dans le camp du gouvernement.
Pour se faire bien comprendre, le leader syndical a déclaré à nos confrères du Quotidien que : « Si les autorités nous donnent des réponses satisfaisantes, nous pouvons aller dans le sens de continuer l’apaisement. Mais si d’aventure ce n’est pas le cas, on sera obligé de reprendre la lutte».
Pour se faire bien comprendre, le leader syndical a déclaré à nos confrères du Quotidien que : « Si les autorités nous donnent des réponses satisfaisantes, nous pouvons aller dans le sens de continuer l’apaisement. Mais si d’aventure ce n’est pas le cas, on sera obligé de reprendre la lutte».