«Le spectacle auquel nous avons assisté à l’Assemblée traduit la tension qui règne dans le paysage politique préfigurant les prochaines élections présidentielles. Et malheureusement, cette explosion de la violence n’est rien d’autre que l’expression d’une violence accentuée par les rivalités entre les différents acteurs», a déclaré Pr Moussa Diaw, enseignant-chercheur à l’UGB de Saint-Louis.
Interpellé par Sud Fm, le professeur en sciences politiques explique que la rupture du dialogue entre majorité et opposition surtout sur des questions vitales telles que le fichier électoral ou encore la distribution des cartes d'électeurs peut susciter bien des troubles. Et cette tension, si elle n’est pas prise en charge en y apportant des solutions, pourrait aller crescendo.
«Naturellement cette explosion de violence explique le fait que les positions sont radicales et qu’on n’a pas trouvé des solutions permettant de dépasser les sujets de contradiction comme le fichier, la distribution des cartes d’électeurs. Il semble opportun de régler ces questions et ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale risque de se reproduire dans la campagne électorale.»
Interpellé par Sud Fm, le professeur en sciences politiques explique que la rupture du dialogue entre majorité et opposition surtout sur des questions vitales telles que le fichier électoral ou encore la distribution des cartes d'électeurs peut susciter bien des troubles. Et cette tension, si elle n’est pas prise en charge en y apportant des solutions, pourrait aller crescendo.
«Naturellement cette explosion de violence explique le fait que les positions sont radicales et qu’on n’a pas trouvé des solutions permettant de dépasser les sujets de contradiction comme le fichier, la distribution des cartes d’électeurs. Il semble opportun de régler ces questions et ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale risque de se reproduire dans la campagne électorale.»