Bien qu’il ait utilisé une arme à feu et menacé d’incendier une agence bancaire où il avait pris en otages des employés et des clients, Bassam Cheikh Hussein suscite la sympathie d’une bonne partie de l’opinion publique au Liban. Ce père de famille d’une quarantaine d’année a entamé dimanche sa deuxième journée de grève de la faim pour protester contre son arrestation. Sa famille et des proches ont manifesté pour réclamer sa libération, accusant les forces de l’ordre de n’avoir pas tenu la promesse de le laisser en liberté.
Bien qu’il ait utilisé une arme à feu et menacé d’incendier une agence bancaire où il avait pris en otages des employés et des clients, Bassam Cheikh Hussein suscite la sympathie d’une bonne partie de l’opinion publique au Liban. Ce père de famille d’une quarantaine d’année a entamé dimanche sa deuxième journée de grève de la faim pour protester contre son arrestation. Sa famille et des proches ont manifesté pour réclamer sa libération, accusant les forces de l’ordre de n’avoir pas tenu la promesse de le laisser en liberté.
Bien qu’il ait utilisé une arme à feu et menacé d’incendier une agence bancaire où il avait pris en otages des employés et des clients, Bassam Cheikh Hussein suscite la sympathie d’une bonne partie de l’opinion publique au Liban. Ce père de famille d’une quarantaine d’année a entamé dimanche sa deuxième journée de grève de la faim pour protester contre son arrestation. Sa famille et des proches ont manifesté pour réclamer sa libération, accusant les forces de l’ordre de n’avoir pas tenu la promesse de le laisser en liberté.