Imam Alioune Badara Ndao peut désormais reprendre ses prêches. Il a été acquitté par la Chambre criminelle spéciale de Dakar, après trois (3) ans de détention.
Mais, pour le vice-président de Jamra, c’est trop facile de libérer Imam sans pour autant lui payer des dommages et intérêts pour le préjudice subi. «Après cette victoire historique, pour être logique, le combat pour la deuxième manche est engagé. Il s’agira d’exiger une réparation, parce Imam Ndao a subi un préjudice moral et financier. On a bloqué, pendant 3 ans, ses activités économiques. Tout cela ne doit pas passer par pertes et profits », déclare Mame Mactar Gueye. Et, informe-t-il, une délégation se rendra, sous peu à Kaolack, afin de voir avec Imam et les avocats, comment aborder cet acte 2 important du procès Imam Ndao ».
Mais, pour le vice-président de Jamra, c’est trop facile de libérer Imam sans pour autant lui payer des dommages et intérêts pour le préjudice subi. «Après cette victoire historique, pour être logique, le combat pour la deuxième manche est engagé. Il s’agira d’exiger une réparation, parce Imam Ndao a subi un préjudice moral et financier. On a bloqué, pendant 3 ans, ses activités économiques. Tout cela ne doit pas passer par pertes et profits », déclare Mame Mactar Gueye. Et, informe-t-il, une délégation se rendra, sous peu à Kaolack, afin de voir avec Imam et les avocats, comment aborder cet acte 2 important du procès Imam Ndao ».