Pour les habitants de Sebha, les Tchadiens qui campent aux environs de la ville ainsi que dans la région du sud sont bien des mercenaires. Selon Hassan Al Rakik, membre du conseil tribal, ces forces sont à la solde de celui qui paie le mieux et ils sont aujourd'hui sous les ordres du maréchal Khalifa Haftar, qui a étendu son pouvoir au sud, à la fin du mois de mai.
L’un de ses porte-parole estime le nombre des opposants tchadiens en Libye à plus de 4 200 hommes. Le camp Haftar les accuse de combattre dans les rangs jihadistes et d’être financés par le gouvernement de Tripoli. Ce qu'un rapport des Nations unies est venu confirmer le 9 juin (lien vers le rapport en anglais).
Pour le président tchadien, ces hommes ne sont pas des opposants, mais bien des mercenaires. Idriss Déby avait déjà accusé Tripoli de les soutenir activement.
Mahamat Mahdi Ali, chef de l'un des mouvements tchadiens en Libye, le Fact, reconnaît lui qu’un émissaire de l’Est libyen est venu le voir pour négocier un accord. Les bombardements de l'armée libyenne sur ses positions ont d'ailleurs aujourd'hui cessé. En revanche, d'autres chefs tchadiens ont, eux, été arrêtés par les hommes d'Haftar.
L’un de ses porte-parole estime le nombre des opposants tchadiens en Libye à plus de 4 200 hommes. Le camp Haftar les accuse de combattre dans les rangs jihadistes et d’être financés par le gouvernement de Tripoli. Ce qu'un rapport des Nations unies est venu confirmer le 9 juin (lien vers le rapport en anglais).
Pour le président tchadien, ces hommes ne sont pas des opposants, mais bien des mercenaires. Idriss Déby avait déjà accusé Tripoli de les soutenir activement.
Mahamat Mahdi Ali, chef de l'un des mouvements tchadiens en Libye, le Fact, reconnaît lui qu’un émissaire de l’Est libyen est venu le voir pour négocier un accord. Les bombardements de l'armée libyenne sur ses positions ont d'ailleurs aujourd'hui cessé. En revanche, d'autres chefs tchadiens ont, eux, été arrêtés par les hommes d'Haftar.