L’Agence d'Aménagement et de Promotion des Sites Industriels (APROSI) a apporté des clarifications sur la situation de M. Aly Fary Ndiaye, militant du parti Pastef/Les Patriotes et « ancien cadre » de l'agence, s
uite à des informations « erronées » diffusées dans les médias.
Selon l’APROSI, « M. Aly Fary Ndiaye a été démis de ses fonctions de Directeur des Sites Régionaux dans le cadre de réformes internes visant à moderniser l'Agence. Ce qu'il a mal accueilli et a conduit à un comportement de défiance et d'agressivité envers la hiérarchie et les collègues».
Ce n'est pas tout, selon le communiqué de l'agence, Fary Ndiaye s'est notamment adonné à des tentatives de discrédit à l'encontre de l'Agence et de son Directeur général. « Il a fourni de fausses informations à la presse. C'est à la suite de la publication d'un article par la journaliste Thioro Mandela, contenant des accusations infondées visant le Directeur général et certains de ses collaborateurs, Qu'une sommation interpellative a été adressée à la journaliste, suivie d'une plainte auprès de la Division de la cybercriminalité. Lors de son audition, Thioro Mandela a reconnu avoir relayé des informations erronées fournies par M. Aly Fary Ndiaye et s'est excusée auprès du Directeur général de l'APROSI, admettant par ailleurs ne disposer d'aucune preuve à l'appui de ses accusations », a expliqué l'APROSI.
Ce pendant le comportement de M. Ndiaye a atteint un point de "gravité extrême" avec l'agression du Directeur Administratif et Financier, M. Ndiaye. «Il a agressé le Directeur Administratif et Financier (DAF) dans son bureau. Cet acte, inacceptable dans toute organisation, a entraîné une mise à pied disciplinaire de 15 jours ». Suite à cela, lit-on sur le document, « une conciliation a été tenue à l'Inspection du Travail le 17 juin 2025 où il a été recommandé d'annuler la sanction jugée excessive, ce que la Direction générale a accepté dans un esprit de conciliation» .
Malgré tout, note le communiqué, "Fary NDIAYE a persisté dans des actes répréhensibles, notamment par la diffusion publique de propos diffamatoires à travers des canaux numériques identifiés. Les procédures internes ont été dûment engagées, conformément aux exigences du Code du travail, et une sommation. interpellative a permis d'établir la responsabilité de l'intéressé ».
« Au regard de la gravité des faits constatés, de leur caractère répété, ainsi que de leur impact préjudiciable sur le bon fonctionnement de l'institution, l'APROSI a été conduite à notifier à M. Aly Fary NDIAYE un licenciement pour faute lourde, conformément aux dispositions légales et réglementaires en vigueur».
Le document indique que : « les procédures internes ont été dûment engagées, conformément aux exigences du Code du travail, et une sommation interpellative a permis d'établir la responsabilité de l'intéressé. Une procédure judiciaire est pendante devant les juridictions pour diffamation et fausses nouvelles ».
L'APROSI rappelle que M. Aly Fary NDIAYE a, par le passé, exercé diverses fonctions de responsabilité au sein de l'Agence, notamment en qualité de Directeur des Ressources Humaines, Directeur de la Communication et Directeur des Sites Régionaux. Il a été un "proche collaborateur du Directeur général à son arrivée à la tête de l'Agence durant trois mois ».
uite à des informations « erronées » diffusées dans les médias.
Selon l’APROSI, « M. Aly Fary Ndiaye a été démis de ses fonctions de Directeur des Sites Régionaux dans le cadre de réformes internes visant à moderniser l'Agence. Ce qu'il a mal accueilli et a conduit à un comportement de défiance et d'agressivité envers la hiérarchie et les collègues».
Ce n'est pas tout, selon le communiqué de l'agence, Fary Ndiaye s'est notamment adonné à des tentatives de discrédit à l'encontre de l'Agence et de son Directeur général. « Il a fourni de fausses informations à la presse. C'est à la suite de la publication d'un article par la journaliste Thioro Mandela, contenant des accusations infondées visant le Directeur général et certains de ses collaborateurs, Qu'une sommation interpellative a été adressée à la journaliste, suivie d'une plainte auprès de la Division de la cybercriminalité. Lors de son audition, Thioro Mandela a reconnu avoir relayé des informations erronées fournies par M. Aly Fary Ndiaye et s'est excusée auprès du Directeur général de l'APROSI, admettant par ailleurs ne disposer d'aucune preuve à l'appui de ses accusations », a expliqué l'APROSI.
Ce pendant le comportement de M. Ndiaye a atteint un point de "gravité extrême" avec l'agression du Directeur Administratif et Financier, M. Ndiaye. «Il a agressé le Directeur Administratif et Financier (DAF) dans son bureau. Cet acte, inacceptable dans toute organisation, a entraîné une mise à pied disciplinaire de 15 jours ». Suite à cela, lit-on sur le document, « une conciliation a été tenue à l'Inspection du Travail le 17 juin 2025 où il a été recommandé d'annuler la sanction jugée excessive, ce que la Direction générale a accepté dans un esprit de conciliation» .
Malgré tout, note le communiqué, "Fary NDIAYE a persisté dans des actes répréhensibles, notamment par la diffusion publique de propos diffamatoires à travers des canaux numériques identifiés. Les procédures internes ont été dûment engagées, conformément aux exigences du Code du travail, et une sommation. interpellative a permis d'établir la responsabilité de l'intéressé ».
« Au regard de la gravité des faits constatés, de leur caractère répété, ainsi que de leur impact préjudiciable sur le bon fonctionnement de l'institution, l'APROSI a été conduite à notifier à M. Aly Fary NDIAYE un licenciement pour faute lourde, conformément aux dispositions légales et réglementaires en vigueur».
Le document indique que : « les procédures internes ont été dûment engagées, conformément aux exigences du Code du travail, et une sommation interpellative a permis d'établir la responsabilité de l'intéressé. Une procédure judiciaire est pendante devant les juridictions pour diffamation et fausses nouvelles ».
L'APROSI rappelle que M. Aly Fary NDIAYE a, par le passé, exercé diverses fonctions de responsabilité au sein de l'Agence, notamment en qualité de Directeur des Ressources Humaines, Directeur de la Communication et Directeur des Sites Régionaux. Il a été un "proche collaborateur du Directeur général à son arrivée à la tête de l'Agence durant trois mois ».