Lors de cette interview, Donald Trump a admis qu'il avait cherché à savoir s'il était visé ou non par une enquête de la police fédérale. C'est pourquoi il a arrangé un dîner avec le désormais ex-chef du FBI, James Comey.
« Il voulait rester à la tête du FBI. Je lui ai dit que j'allais y réfléchir. Le dîner était très sympa. Je lui ai demandé: "si c'est possible, pouvez-vous me dire si je fais l'objet d'une enquête ?". Il a dit "Non, il n'y a pas d'enquête vous concernant.". Et après il me l'a répété durant un coup de fil et encore un autre coup de fil. »
Mais ce n'est pas tout. Donald Trump explique également que sa décision de limoger James Comey a été prise avant qu'il ne demande au vice-ministre de la Justice Ron Rosenstein de lui écrire des recommandations pour justifier ce renvoi. « J'allais virer Comey. Il a fait une recommandation. Il est très respecté. Mais quelle que soit la recommandation, j'allais virer Comey. »
Et enfin le président admet que l'enquête du FBI sur les ingérences russes dans la campagne présidentielle américaine a bel et bien pesé dans sa décision de se débarrasser de James Comey. « Quand j'ai pris la décision, je me suis dit : ce truc avec la Russie, Trump et la Russie, c'est une histoire inventée ».
Et pourtant les démocrates et certains républicains continuent à réclamer une enquête indépendante sur cette affaire.
RFI
« Il voulait rester à la tête du FBI. Je lui ai dit que j'allais y réfléchir. Le dîner était très sympa. Je lui ai demandé: "si c'est possible, pouvez-vous me dire si je fais l'objet d'une enquête ?". Il a dit "Non, il n'y a pas d'enquête vous concernant.". Et après il me l'a répété durant un coup de fil et encore un autre coup de fil. »
Mais ce n'est pas tout. Donald Trump explique également que sa décision de limoger James Comey a été prise avant qu'il ne demande au vice-ministre de la Justice Ron Rosenstein de lui écrire des recommandations pour justifier ce renvoi. « J'allais virer Comey. Il a fait une recommandation. Il est très respecté. Mais quelle que soit la recommandation, j'allais virer Comey. »
Et enfin le président admet que l'enquête du FBI sur les ingérences russes dans la campagne présidentielle américaine a bel et bien pesé dans sa décision de se débarrasser de James Comey. « Quand j'ai pris la décision, je me suis dit : ce truc avec la Russie, Trump et la Russie, c'est une histoire inventée ».
Et pourtant les démocrates et certains républicains continuent à réclamer une enquête indépendante sur cette affaire.
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