«L’Alliance pour la république s’adonne à des fraudes massives depuis l’ouverture de la période de révision des listes électorales». Ces propos de Sada Ndiaye traduisent toutes les suspicions qui entourent cet exercice qui se fait traditionnellement à l’approche d’élections.
Selon le chargé des élections du Parti démocratique sénégalais (Pds), les dénégations du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique n’y font rien. «Quand on a revisité tous le processus, on a constaté ce que les fonctionnaires appellent disfonctionnement et que et que nous appelons purement et simplement de la fraude qui continue au niveau de la tenue des audiences foraines. Elles continuent aussi quand le ministre de l’Intérieur demande à ses unités mobiles d’établissement des cartes nationales d’identité, d’accélérer la cadence de production».
Selon l’ancien directeur du Coud, ces magouilles ont été orchestrées par des personnalités du régime actuel, telles que Daouda Dia. Ce dernier, selon Sada Ndiaye, a fait confectionner des cartes nationales d’identité au nombre de 500 au niveau de Bosséabé et 500 autres dans une autre localité. Le même cas est constaté dans certaines contrées des Etats-Unis, poursuit Sada Ndiaye et qui a permis à des réfugiés nigériens et mauritaniens, parlant la langue pulaar d’avoir la nationalité sénégalaise.
Selon le chargé des élections du Parti démocratique sénégalais (Pds), les dénégations du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique n’y font rien. «Quand on a revisité tous le processus, on a constaté ce que les fonctionnaires appellent disfonctionnement et que et que nous appelons purement et simplement de la fraude qui continue au niveau de la tenue des audiences foraines. Elles continuent aussi quand le ministre de l’Intérieur demande à ses unités mobiles d’établissement des cartes nationales d’identité, d’accélérer la cadence de production».
Selon l’ancien directeur du Coud, ces magouilles ont été orchestrées par des personnalités du régime actuel, telles que Daouda Dia. Ce dernier, selon Sada Ndiaye, a fait confectionner des cartes nationales d’identité au nombre de 500 au niveau de Bosséabé et 500 autres dans une autre localité. Le même cas est constaté dans certaines contrées des Etats-Unis, poursuit Sada Ndiaye et qui a permis à des réfugiés nigériens et mauritaniens, parlant la langue pulaar d’avoir la nationalité sénégalaise.